1 avis sur écrit est souhaité par Eric Veille
Le vent pulvérise la trace fragile
Des maigres avances de ces forçats blanchis
Qui fêlent le silence et se retirent, honnis,
Dans l’étendue de leur noblesse fébrile.
Le vent pulvérise la trace fragile
Des maigres avances de ces forçats blanchis
Qui fêlent le silence et se retirent, honnis,
Dans l’étendue de leur noblesse fébrile.
À la surprise générale, le jeune joueur en décida autrement. Il fit une passe à un membre de l’équipe adverse. Incompréhension dans les tribunes. Déception chez les joueurs. Embarras sur le banc de l’entraîneur.
Enfin, j’étais derrière elle, impatient de voir son visage. Le concert commença poussivement… une première fausse note, un murmure …quelques mesures, une deuxième fausse note… murmures … sa main se leva, hésita, elle remit une mèche de cheveux en place et haussa les épaules.
Tu le sens tout à coup, comme un souffle sur le cou.
Il te grise ; tu vois flou ; tu risques le tout pour le tout.
Tu cours, tu sautes, tu ris, mais tu pleures surtout.
Tu le chantes, tu le cries. L’amour, ça nous rend fou.
S’il vous plait, prenez les quatre pains qui me restent, s’il vous plait. Comme ça, je pourrais rentrer.
– C’est loin chez toi ?
– Non. Deux kilomètres.
Ce texte fait parti d’un chapitre d’un livre en cours d’écriture. Vos avis me seront utiles. Il s’esquiva en...
Pour racines De toute éternité J’ai senti peser sur moi Confusément Le poids écrasant des souffrances de mes ancêtres...
J’avais déjà un avis sur la couleur des choses On ne m’avait pas demandé mon avis sur la couleur...
Il était une fois un Prince Charmant……encore un, me direz vous…..oui mais, celui là n’était pas n’importe quel Prince Charmant.
Bon d’accord… il habitait quand même dans un château…dans la banlieue parisienne… plus de 500 ans avant la Prise de la Bastille.