Deux livres mis en avant


« La dernière femme », le roman écoféministe de Monique Lachaux se situe dans un avenir où la menace environnementale est alors une réalité. Il se déroule sur treize journées que nous passons en compagnie d’Eva, une jeune femme humaniste, chercheuse en biologie, convaincue que la protection de la planète inclut celle des femmes. Elle se trouve sur une île quand survient une catastrophe écologique sans précédent. La voici devenue la « dernière femme ». Robinson Crusoë au féminin, Eva Carolus tente de survivre en affrontant à la fois un monde régi par le masculin et un univers où les éléments se déchaînent.

Grande lectrice et passionnée par la littérature, l’auteure n’a pas cessé d’écrire tout en menant une carrière d’infirmière, de sophrologue et d’animatrice d’ateliers de peinture Arno Stern. Très jeune, elle a pris conscience des enjeux environnementaux et le sort réservé aux femmes dans le monde est un thème récurrent de ses inspirations. Elle se consacre aujourd’hui à l’écriture et pratique le qi gong tous les jours. Dans ses textes, elle interroge les différents aspects de la domination et explore les voies de résilience.

1 ère nouvelle : Deux amants s’écrivent comme au temps des Grands Romantiques. Leur amour grandit au fil des messages mais pour elle, il devient de plus en plus difficile de voir l’homme qu’elle aime appartenir à une autre femme.
2 ème nouvelle : La petite fille d’un vieux monsieur, nostalgique de son enfance, redescend un machine à écrire du grenier. C’est alors qu’il se produit des choses étonnantes. Chaque nuit, les lettres s’activent toutes seules, et chaque jour écrivent un message pour faire éclater au grand jour les secrets de famille. » C’est si troublant », Christine Rosier, Edilivre

L’auteure, Christine Rosier, vit en Suisse. À la campagne entre rivière et lac, dans la région que l’on appelle la Broye. Son livre est constitué de deux courtes nouvelles qui interpellent : (1) Aimer trop peut-il faire basculer dans la démence ? (2) Le passé ou un esprit du passé peut-il animer physiquement un objet ?

Signature du premier livre de Pascal Perrat à la librairie Guerlin à Reims, 1982. La personne sur la droite est un auteur Rémois. Alors qu’il était étudiant il louait une chambre à Paris, contiguë à celle de Amedeo Modigliani il me parla beaucoup de l’artiste et notamment une anecdote que je n’ai jamais oublié.

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Je suis hors-n’homme. Un neuroatypique à dominance dyslexique.
De facétieux neurones font des croche-pieds aux mots dans mon cerveau.
Mon orthographe trébuche souvent quand j’écris.
Peut-être avez-vous remarqué une faute. Merci de me la signaler : blog.entre2lettres(at)gmail.com
Effectivement, un merveilleux mystère et une belle anecdote superbement bien racontée. Merci beaucoup Pascal.