Dictionnaire des injures littéraires. Saignant
L’auteur et éditeur Pierre Chalmin pense, comme Leautaud : « Qu’aimer, admirer, respecter, c’est s’abaisser ». Son dictionnaire des injures littéraires présente les grands auteurs sous la plume de leurs plus méchants détracteurs. SAIGNANT !
On fait de bons mots avec de mauvais sentiments et c’est parfois trop cruel, mais souvent très drôle. Est-ce la faute à Voltaire ?
Deux exemples :
MILLET (Catherine, née en 1948) bas-bleu français)
« Travailleuse à la chienne. Morne stakhanoviste du cul triste. Confond l’angoisse de la page vierge, et l’étalage de la perte blanche. Catherine Millet, c’est Histoire d’O … version plomberie. Devant tant d’incontinente inconsistance, on n’aura qu’un mot : tirez la chasse ! »
Pierre-Emmanuel Prouvost d’Agostino. Journal impossible
DELERM (Philippe et Vincent, père et fils, nés en 1950 et 1976, auteur et chanteur)
« Chez les Delerm, c’est le néant de père en fils : père, fils et sans esprit. La « littérature» du père méritera de demeurer comme témoignage des ravages que peuvent occasionner, sur les esprits simples, le décervelage en règle de ce qu’on nomme encore l’Éducation Nationale et la lecture hebdomadaire de Télérama. »
[Dyslexie_fautes][/Dyslexie_fautes]
pas tendre mais pas tout ç fait faux non plus , un + pour Delerme Philippe qui malgré tout m’a donné le gout d’écrire des textes courts … c’est bizarre mais je n’osais pas , je croyais que c’était nul !!!!!
J’ai appris des choses interessantes grace a vous, et vous m’avez aide a resoudre un probleme, merci.
– Daniel