730e exercice d’écriture très créative

Exercice d'écriture très créative


Cette parabole, proposée par Jean-Marc Durand, n’enjoint-elle pas à citer Littré, lequel clamait : « Il
faut encourager les efforts contre la désuétude des mots dignes d’être conservés » ?

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22 réponses

  1. Urso dit :

    Je suis un centenaire chanceux.
    Ce matin je me suis marié à l’église du village avec une gamine de vingt ans.
    Elle est très folle de moi. Je n’en reviens pas.
    Jamais aucune femme ne m’a regardé de cette manière, avec des yeux aussi doux. M’a parlé aussi gentiment.
    Je suis un homme un peu gâteux et aussi gâté par la vie.
    Vingt ans, cent ans lorsqu’on aime il n’y a pas d’âge.
    Dès que je l’ai vue je suis tombé follement amoureux d’elle.

    On s’est d’abord écrit quelques lettres, puis un peu embrassé et ce matin nous nous sommes mariés.
    Le prêtre et aussi des convives au restaurant m’ont demandé si j’allais avoir des enfants avec cette jeune femme.
    Je leur ai répondu que vu mon âge c’est une question qui ne pouvait être posée, et donc forcément notre couple bientôt aura beaucoup d’enfants.
    Alors ils ont eu un sourire bizarre.
    Et maintenant j’ai un doute, et si cette jeune nana jouait un numéro.
    Si elle se moquait de moi le brave centenaire qui a déjà vidé sa tirelire à la banque pour cette fille : pour notre futur maison à la campagne, nos vacances à la mer et notre bonheur.
    Oui j’ai un gros doute à présent sur la sincérité de son amour pour moi.
    Et si je m’étais fait rouler dans la farine, moi l’ancien boulanger et pâtissier, et aussi boucher et charcutier.

    Mon neveu vient de m’appeler. Il vit à l’autre bout du monde à Melbourne en Australie.
    Il m’en a raconté des vertes et des pas mûres sur cette jeune femme.
    Elle et sa mère m’ont très certainement fait une blague. Moi le vieux croûton de pain.
    Elles ont déjà fait le coup à d’autres hommes âgés, qui comme moi tombent vite amoureux de la première belle et jeune fille qu’ils rencontrent.
    Mon neveu m’a mis en garde qu’elles vont encore me prendre les rares sous que j’ai.
    Il me conseille d’utiliser la méthode forte lui qui est un agent secret.
    Cette méthode qui est de se débarrasser de ces deux personnes coûte que coûte. Comme cela elles ne recommenceront plus leurs méfaits.

    – Non non répondis-je. Moi vois-tu je suis pour le respect de la vie humaine et pour le pardon.
    Jamais je ne ferai de mal à ces personnes.
    Même si certainement elles se sont moquées de moi.
    Vois-tu fiston je vais leur réserver une autre surprise, je vais les transformer en vipère, en chouette ou chauve-souris.
    Je suis peut-être centenaire mais je suis aussi magicien.
    Tiens tiens c’est ma jeune épouse qui revient des courses. Elle vient d’ouvrir la porte d’entrée de l’appartement.
    Vite, vite ! un peu de magie, qu’elle soit transformée rapidement en chouette, vipère ou chauve-souris …

  2. Ani Duprat dit :

    Très intéressant et amusant comme exercice. J’en propose un autre : la traduction d’un texte d’aujourd’hui en langue de 2050 telle qu’on « l’entend » venir…

  3. Ani Duprat dit :

    Un croque-lardon déparpaillé et souvent imbriaque s’est accointé, puis assoté d’un tendron rafalé et volontiers prône-misère. Et voilà notre homme tout éplapourdi de sentir son entrefesson d’ordinaire concolore , valétudinaire et recru, s’abeausir.
    Il en ressentirait presque de la postéromanie et se découvre pantophile. Las, la donzelle n’est qu’une abuseuse qui l’a emberlucoqué en lui faisant croire qu’elle le contre-aimait quand elle n’était que le jouet d’une appareilleuse.
    Cette histoire digne d’une berquinade prouve qu’il ne faut pas être songe-creux en se laissant enquinauder bredi-breda . Car ensuite, l’on se tabute et la friolerie devient douloureuse, alors qu’elle n’est qu’une riflade…

    • Ani Duprat dit :

      Ceci n’est pas mon texte. Qq chose s’est passé bizarrement, je recommence.
      Un pauvre type très mal fringué et souvent saoul s’est rapproché, puis énamouré d’une jeune peinturlurée et volontiers geignarde. Et voilà notre homme tout ébahi de sentir son pénis d’ordinaire palot, ramollo et épuisé, se ragaillardir.
      Il en ressentirait presque l’envie de cesser de se palucher, et se découvre amateur de pantoufles ( ; ) je ne savais pas quoi mettre !). Hélas, la demoiselle n’est qu’une arnaqueuse qui l’a séduit en lui faisant croire qu’elle l’aimait en retour quand elle n’était que la marionnetted’une entremetteuse.
      Cette histoire digne d’une farce prouve qu’il ne faut pas être naïf en se laissant ensorceler facilement. Car ensuite, l’on se réveille avec la gueule de bois, et la blague devient douloureuse, alors qu’elle n’est au départ qu’un pari…

  4. Avoires dit :

    Un pauvre mec, dépenaillé, souvent bituré, a rencontré une nana à l’allure peu farouche qui mendiait fréquemment et s’en est amouraché. Et voilà notre bonhomme aux anges de sentir sa bite d’ordinaire rabougrie,perpétuellement fatiguée, reprendre du poil de le bête.
    Il en éprouvait presque la petite mort et se disait qu’il n’avait rien perdu de sa virilité. Hélas, la gonzesse était une allumeuse qui l’avait appâté en lui faisant croire qu’elle le kiffait alors qu’elle n’était qu’une petite pute sous la coupe d’une maquerelle.
    Cette histoire digne d’un roman de gare prouve qu’il ne faut pas être songe-creux se laissant embobiner car on est déçu et la gaudriole devient un cauchemar alors qu’elle n’est que du velours.

  5. Un profiteur excentrique et sans scrupules s’est amouraché d’une jeunette désargentée et gémissante. Et voilà notre homme tout surpris de sentir que ses bourses, d’ordinaires bien mal en point, prennent tout à coup de la valeur.
    Il en viendrait presque à désirer une descendance et à tout apprécier. Las, la Julie n’est qu’une profiteuse qui l’a abusé en lui faisant miroiter qu’elle l’aimait de retour alors qu’elle n’était qu’une vulgaire maquerelle.
    Cette histoire, digne d’un roman à l’eau de rose, montre bien qu’il ne faut pas être crédule en s’énamourant précipitamment sous risque de se tourmenter et que la pilule devienne amère alors qu’il s’agit d’une bagatelle.

  6. Michel-Denis ROBERT dit :

    Un apache dans la déche, et quelques fois barjo dans sa tête tomba agaté devant les nibards d’une fantine bombasse. Et voilà que notre mordu courut le guilledou dès potron-minet jusqu’à sorgue très tard. C’est dans un mastroquet qu’il l’avait pécho. Pendant qu’elle se rinçait la dalle il zyeuta ses amortisseurs si bath qu’il en devint ouf. Ainsi devant ses bristols choucards, il enflamma son pétrole à tel point qu’il prorogea son contrat. Il émit le désir d’avoir des petits loupiots. Seulement la meuf ne s’en laissa pas conter. Elle prenait son pied pendant une plombe : la journanche, c’était son taf gratos. Qu’il envoie ses enfants à la blanchisseuse §
    Abusé par sa petite fleur de macadam, le gonze tomba en déréliction.
    Moralité : Si tu mises sur du bluff t’es marron !

  7. Françoise Rousseaux dit :

    Charcutier un peu décati et souvent hypocondriaque, s’est amouraché d’une fausse jeune fille, qui se targuait d’une vie misérable. Et voilà notre homme tout émerveillé de sentir son bas-ventre, d’ordinaire plutôt effacé, se réveiller soudain.
    Il en ressentirait presque de la joie et se découvre plein d’ardeur.
    Hélas, la fille n’est qu’une allumeuse qui l’a emberlificoté, en lui faisant croire qu’elle l’aimait passionnément, alors qu’elle n’était que le jouet d’une entremetteuse.
    Cette histoire digne d’une comédie de boulevard prouve qu’il ne faut pas être trop confiant en se laissant séduire et manipuler. Car ensuite, l’on tombe de haut et la farce devient douloureuse alors qu’on devrait en rire.

  8. RENATA dit :

    Un très vieux célibataire , frivole et toujours très endurci , s’est marié !
    Son entourage s’alerte .
    Et voila notre homme tout surpris de sentir son sexe d’ordinaire curieux , volontaire et toujours prêt , s’affaisser ?
    Las , la nouvelle épousée n’est qu’une intrigante qui l’a empoisonné lui faisant avaler la poudre de succession .
    Cette histoire digne d’un fait divers prouve qu’il ne faut pas être aveugle et se laisser occire .
    Car ensuite l’on se meurt , laissant la veuve joyeuse ….

  9. Gilaber De Florates dit :

    Laissez-moi vous conter la mésaventure de Lulu, le petit kéké marseillais… elle commence au balètti du 14 juillet de cette année. Avec trois collègues, ils avaient décidé d’aller faire les cacous sur le Vieux-Port, où, juste après le feu d’artifice, Merlu, le sosie vocal de Soprano animerait la soirée sous l’ombrière-miroir qui faisait la fierté locale…

    Les cheveux chargés de gel coiffant, vêtus d’un blouson de cuir noir, jeans aux bas retroussés sur leurs santiags, ils descendaient la Canebière d’une démarche chaloupée… Lulu mastiquait goulûment son chewing-gum Hollywood mentholé à s’en décrocher les zygomatiques et il ne manquait pas d’adresser un clin d’œil à toutes les filles qui croisaient son chemin… les pétards raisonnaient dans toutes les rues et le beau temps était de la partie… la soirée s’annonçait sous de bons auspices.
    Ils étaient arrivés à l’instant où les premières notes de musique annonçaient le début du concert… jouant des coudes et des épaules sous la désapprobation des spectateurs mécontents d’être bousculés, ils avaient réussi à trouver une place au plus près des grosses enceintes qui crachaient leurs flots de décibels… Lulu, avait déjà des fourmis dans les jambes et il ne pouvait pas s’empêcher de se dandiner. Levant les yeux, il remarqua un groupe de filles dont l’une d’elles, habillée et maquillée comme une cagole, avait accroché son regard sur lui… Marcel, à qui le manège de son collègue n’avait pas échappé, l’avait mis en garde :

    — Méfi mon potto… la donzelle est peut-être maquée, faudrait pas que la soirée se termine en bastonnade…
    — T’inquiètes frérot. Je crains dégun !
    — Et en plus, c’est un véritable ravan habillé comme une estrasse.
    — C’est juste histoire de lui rouler quelques palots et puis hop !
    — Tu es testardt. Crois-moi, tu vas te ramasser une gamelle.
    — Tu cherches à me porter la scoumoune ou quoi ?
    — Non ! Mais je pense que tu es trop resté au cagnard cet après-midi…
    — Arrête de m’emboucaner avec tes histoires de fadas !
    — Peuchère… après tu ne viendras pas pleurer dans mon giron !
    — Marcel ! Arrête de marronner tout le temps.
    — Je persiste à penser que tu es complètement jobastre !
    — Allez boulègue, sinon elle va décamper !
    — Surtout, tu n’oublies pas de lui susurrer au creux de l’esgourde un peu de poésie…
    — Tu me prends vraiment pour un toti !

    Appuyant sa démarche chaloupée, Lulu s’était approché de la jeune fille… Marcel l’avait bien vu se pencher à son oreille… mais il fut surpris de la voir lui mettre un magistral taquet… et Lulu s’en était retourné auprès de ses amis le nez pissant du sang…

    — Mais pourquoi elle t’a défalqué la grognasse ?
    — J’ai pourtant tout fait comme t’as dit… Puis je te vois ce soir, pour te caresser l’espoir…
    — Tu m’escagasses… tu n’as donc rien dans le teston… Il fallait lui dire : Puis-je caresser l’espoir, de te vois ce soir… Pôvre stàssi va !

    Aujourd’hui, la mésaventure de Lulu, le petit kéké marseillais est aussi célèbre que la légende de la Sardine qui a bouché l’entrée du Vieux-Port…

  10. Maguelonne dit :

    Un pauvre bougre qui n’a pas vraiment inventé le fil à couper le beurre, s’est acoquiné puis épris d’une mignonne un peu paumée et qui aime volontiers se plaindre.
    Et voilà notre homme tout ragaillardi de sentir revenir sa libido. Il est plein d’ardeur et croit retrouver sa jeunesse.
    Hélas la donzelle n’est qu’une cocotte qui l’a emberlificoté en lui laissant croire qu’elle l’aimait alors qu’elle n’est qu’une manipulatrice.
    Cette histoire digne d’une fable prouve qu’il ne fait pas bon être naïf en se laissant embringué comme un couillon. Car ensuite on ramasse les morceaux et l’histoire coquine devient douloureuse alors qu’elle n’est qu’une galéjade.

  11. Michele B.Beguin dit :

    Un pique assiette hétéroclite et souvent aviné s’est acoquiné d’un jeune démuni et laissé pour compte. Et voilà notre homme tout ébahi de sentir sa partie basse, frémir, d’ordinaire absente de libido.
    Il en sentait presque de l’orgasme et se découvre prêt à tout dévorer. Hélas, le coquelet ne cherchant qu’à se moquer, lui a faire croire au paradis, tout en lui jouant un mauvais tour.
    Cette histoire digne d’un conte moral de La Fontaine, lui apprend encore combien sa naïveté doit être bannie. Car lorsque l’on contrarie la nature non consommée elle devient douloureuse, comme une gifle du vent.

  12. Rose Marie Huguet dit :

    Souvent seul avec sa bouteille, vêtu à la va comme-je-te-pousse, chétif, transparent, rongé par la vinasse, le bonhomme se savait peu ragoutant. Pourtant, à sa grande surprise, une charmante meuf vint lui faire du gringue. Cette rencontre le propulsa en arrière, à son adolescence lorsque pour la première fois il sentit des papillons dans le ventre. La belle ne semblait pas bien riche, mais qu’importe. Il eut le coup de foudre. Les vapeurs d’alcool qui stagnaient dans son cerveau, conjuguées au parfum envoutant de l’amour, ne lui ont pas permis de se rendre compte que la belle se fichait de lui et qu’elle n’était qu’une marionnette manipulée par Madame Claude.
    Que dire ? On ne peut pas vraiment lui en vouloir. C’est vrai qu’il s’est jeté trop rapidement dans la gueule du loup, mais est-ce vraiment possible de se poser, de réfléchir lorsque l’on croit dur comme fer que l’on vient de toucher le jackpot ? Dur, dur dur.
    Le cœur gros, il s’en alla noyer son chagrin en jurant qu’il ne se ferait plus avoir.
    Cela reste à voir.

  13. Nadine de Bernardy dit :

    Un vieil ogre fringué comme l’as de pique et souvent impuissant, s’est entiché d’une poulette sans foi ni loi, sans un sou aucun.
    Voilà notre homme tout émoustillé de sentir son vermicelle, d’ordinaire recroquevillé, hésitant et recru, se redresser tout guilleret. Il en ressent presque de la gêne en se découvrant accro au sexe.
    Hélas la jeunette n’est qu’une profiteuse quand elle n’est pas le jouet d’une mère maquerelle.
    Cette histoire prouve qu’il ne faut pas se faire plus sot qu’on ne l’est en se laissant berner pour une paire de mirettes, car ensuite on se retrouve gros jean comme devant et la nostalgie douloureuse alors qu’elle n’est qu’illusion.

  14. Nouchka dit :

    Pardon mais je n’ai pu répondre qu’avec quelques aides.
    Un écornifleur débraillé et souvent imbibé s’est approché, puis amouraché d’une fille maladive et geignarde. Et voilà notre homme tout étonné de sentir son périnée d’ordinaire sans reflet, raplapla et flapi, se revigorer.
    Il en ressentirait pour ainsi di une envie compulsive de baiser et se découvre obsédé. Vannée, la fille n’est qu’une profiteuse qui l’a aveuglé en lui laissant croire qu’elle l’aimait en retour alors qu’elle n’était que le jouet d’une entremetteuse.
    Cette histoire n’est qu’un conte ordinaire qui prouve qu’il ne faut pas rêvé et se laisser abuser de fadaises. Car ensuite, l’on se tourmente et, la friandise devient douloureuse, alors qu’elle n’est qu’une égratignure…

  15. mijoroy dit :

    Ce croquignolet, un candide parasite, vêtu de loques s’est acoquiné à un pauvre hère ayant subit un revers de fortune dans la feuille de papier toilette. Et voilà notre homme tout éberlué de sentir sa raie des fesses d’ordinaire insipide et bien lisse, valétudinaire et recru, s’émoustiller. Voluptueuse sensation.
    Il en ressentirait presque de la postéromanie et se découvre une véritable passion pour son entre-fesses. Hélas, la belle ligne n’est qu’une gourgandine qui l’a convaincu en lui faisant croire qu’elle lui vouerait un amour éternel, se défendant d’être une entremetteuse.
    Cette histoire digne d’une fable enfantine, prouve qu’il ne faut point être un naïf en se laissant conter fleurette de crainte d’être mené par le bout de la fesse. On se fourvoie profondément, et le badinage devient douloureux, alors qu’il est sensé n’être qu’effleurement….

    Chouette exercice, merci Pascal et JMarc.

  16. Jean Marc Durand dit :

    Un amateur désabusé de cochon et trop souvent affamé s’est pris d’affection pour une tranche de jambon, une bien rose. Et voilà notre homme, tout attendri d’imaginer son tromblon, tremblant sur une épaule. Il en ressentirait presque de la tendresse et se découvre bienfaisant. C’est alors que la tranche se révèle à engraisser.

    Cette histoire digne d’une dacoise prouve qu’il ne faut pas être dupe de l’emballage et toujours acheter bio. Car ensuite on se pollue le continent vital, et bien au delà des petits boutons.

  17. 🐀 Souris verte dit :

    Voilà le transcrit.!
    Le père François dans son vieux pardessus râpé vivait à la cloche. Il s’ était amouraché d’une jeunesse à la main fraîche qu’elle tendait facilement. Il ressentit des désirs oubliés et lui conta fleurette.
    Hélas la donzelle envoyée par Teectic n’en avait cure du désespoir qu’elle créait.
    Le malheureux éconduit resta contrit. 🐀

  18. 🐀 Souris verte dit :

    Un vieux bouffe gamelle habillé comme l’as de pique et souvent torché s’est piqué d’un perdreau de l’année volontiers quémandeuse. Tout excité lui plutôt calme de l’entre-cuisse eut le tricotin pour la donzelle qui n’ était qu’une allumeuse au service d’une arrangeuse.
    Faut faire gaffe dans ces histoires là de ne pas se faire avoir jusqu’au trognon sinon on se fait carotter. Tout ça pour se frotter l’enclume !

    En un mot : surveille tes fréquentations…

    Merci Pascal… Je m’suis bien marrée🐀

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