730e exercice d’écriture très créative
Traduisez le texte ci-dessous en « bon » français d’aujourd’hui, sans l’aide de l’IA ou d’un dictionnaire.
Un croque-lardon déparpaillé et souvent imbriaque s’est accointé, puis assoté d’un tendron rafalé et volontiers prône-misère. Et voilà notre homme tout éplapourdi de sentir son entrefesson d’ordinaire concolore , valétudinaire et recru, s’abeausir.
Il en ressentirait presque de la postéromanie et se découvre pantophile. Las, la donzelle n’est qu’une abuseuse qui l’a emberlucoqué en lui faisant croire qu’elle le contre-aimait quand elle n’était que le jouet d’une appareilleuse.
Cette histoire digne d’une berquinade prouve qu’il ne faut pas être songe-creux en se laissant enquinauder bredi-breda . Car ensuite, l’on se tabute et la friolerie devient douloureuse, alors qu’elle n’est qu’une riflade…
Cette parabole, proposée par Jean-Marc Durand, n’enjoint-elle pas à citer Littré, lequel clamait : « Il
faut encourager les efforts contre la désuétude des mots dignes d’être conservés » ?
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