1 avis sur écrit est souhaité par Ruth Lukombo
» Beaucoup de personnes (qu’elles soient ado ou non) sont complexées par leur physique. Elles essayent de se faire remarquer et d’impressionner les autres pour se convaincre qu’elles valent quelque chose. A l’adolescence, c’est encore pire : on doute de ses capacités, on a pas confiance en soi… Je savais qu’en abordant ce sujet, je toucherais beaucoup plus de monde, qui se reconnaissent peut-être dans mon histoire. » Ruth Lukombo
CHAP. 1. La vie d’une moche
Les gens qui disent que c’est la beauté intérieure qui compte sont des menteurs. Pour la bonne et simple raison que tout le monde s’en fiche de la beauté intérieure. Si tu es grosse, on te traite de grosse, même si tu es gentille. Si tu es boutonneux, on te rebaptise » la calculatrice « , sans que tu ne puisse rien faire. En plus, personne ne peut la voir, la beauté intérieure ; car comme son nom l’indique, elle est à l’intérieur de nous-mêmes. Et, sérieusement, je ne vois pas qui voudrait nous disséquer pour vérifier si elle y est bien…
Je n’essaye pas de trouver des excuses, j’assume parfaitement ce que je suis. Je suis moche. Moche. Moche. Ce n’est pas une crise d’adolescence ou le fait que je ne me sente pas bien dans ma peau, je suis laide, un point c’est tout.
Si vous avez eu la chance de naître beau ou même correcte, alors ne vous plaignez pas si vous vous trouvez trop gros(se) ou si vous ne rentrez plus dans votre jean préféré. C’est pas avec vos régimes Minceur Extrême à deux balles que vous perdrez du poids ! Quel poids, en plus ? Vous avez à peine pris un gramme !
Sachez qu’il y a des personnes qui rêveraient d’être dans votre corps, ne serait-ce que pour une journée.
Les beaux, eux, ne se gênent pas pour se vanter. C’est un gros avantage car il sert à plein de choses. Par exemple, s’ils se trouvent dans un clash verbal et que leur adversaire leur clouent le bec, ils peuvent tirer profit de cette arme ultime :
– Tu peux parler, toi, avec ta tête là.
– Ouais, ben moi, au moins, j’ai pas de la paille à la place des cheveux !
– C’est sûr que quand on vit autour de déchets, on s’imprègne de son environnement.
Les filles peuvent secouer leurs cheveux dans tous les sens ou toiser les gens avec une bouche en cul de poule. Les garçons, eux, profitent de leur beauté pour sortir avec plein de filles en même temps, ou manipuler les gens pour parvenir à leurs fins, ce qui est tout simplement écœurant. Mais ce qu’ils préfèrent par dessus tout, c’est se moquer des plus faibles, des plus laids. Exemple :
Jean-François (on va l’appeler comme ça) doit passer au tableau. Il est le dernier, alors il n’y aura plus personne après lui pour changer l’ambiance de la classe si ça tourne mal. Jordan (il faut un nom qui fasse PlayBoyAméricain), qui est au premier rang avec ses » potes « , attend avec impatience le moment où J-F aura fini son discours pour pouvoir l’humilier. Quand il aura lancé la première vanne, tous ses copains le suivront et ce sera la classe entière qui explosera de rire.
Jean-François sait très bien cela : il est habitué. Il porte un appareil dentaire, et quand il parle, c’est les chutes du Niagara. Il commence son discours : les lettres bafouillent et les voyelles s’entassent. Des élèves pouffent et se retiennent de rire, même leur professeur, Mr. Lavigne.
Jason s’abrite de son classeur et lance la première attaque :
– Je savais bien que j’aurais dû prendre mon parapluie, aujourd’hui…
Et bien sûr, ces potes, en bons sbires, le suivent en imitant le pauvre élève en bafouillant. Mais attention ! : Règle Numéro Un Des Copains Des Populaires : quand le leader lance une vanne, ils ont obligation de le soutenir mais ne doivent jamais au grand jamais être plus drôles que lui. JA-MAIS. Sinon, le public rit plus de leurs blagues, ce qui va dévaloriser le leader.
Quand Jean-François termine son discours, Jason fait semblant de regarder au plafond pour voir s’il ne pleut plus. Il tend sa paume vers le ciel avant de l’inspecter comme si une goutte d’eau était tombée dessus. Et là, c’est l’hystérie générale. Tout le monde se tord de rire, même le prof, qui depuis tout à l’heure essayait de retenir son fou rire en le masquant d’une quinte de toux.
Arrêtez de faire cette tête, on sait tous que c’est vrai ! Les beaux garçons gentils et honnêtes, ça court pas les rues ! Sauf dans les Films et Séries Américains, mais on sait tous que c’est du vent. Ce ne sont pas des préjugés que je suis en train de déclarer, mais des faits. La vie des B.P. (belles personnes) se passe sans encombres, mais pour les moches – comme moi -, c’est autre chose : il y a toutes sortes de châtiments qu’on vous inflige quand vous êtes moche, qu’ils soient mérités ou non.
Il y a les clichés selon lesquels les M.P. (moches à perpétuité) sont des sans amis ou des balances. Bon, c’est vrai que c’est souvent le cas, mais c’est les autres, qui nous fuient, aussi ! Autre cas : quand vous êtes nouveau quelque part, vous remarquez que les gens pensaient autre chose de vous… Les élèves s’attendaient à accueillir un Beau Gosse ou Une Bimbo, et ben nan, c’est ce bon vieux Raoul ! La déception et le dégoût se lisent sur leurs visages… C’est toujours sur nous aussi que tombe la sentence du hasard, en cours. A croire que JeVaisChoisirQuelqu’unAuHasardPourAllerAuTableau est notre nom de famille ! Remarque, c’est quand même mieux que le mien, qui me vaut toutes les moqueries du monde sur mon look et mes cheveux !
Je ne sais même pas pourquoi j’écris dans ce journal, en fait. C’est ma mère qui me l’a conseillé, car c’est soit disant le meilleur moyen d’exprimer mes émotions et mes sentiments les plus intimes. Elle pense qu’en me relisant, plus tard, je pourrai apprécier réellement mes années d’adolescence. Voilà qui prouve une seule chose : que maman a complètement oublié ce que c’est d’être une ado. En même temps, comment pourrait-elle comprendre ? C’est sûr que elle, elle en a eu une belle, d’adolescence. Sur ses photos de jeunesse – qu’elle nous a montré des centaines de fois -, elle y pose, belle et souriante, derrière un paysage toujours magnifique. Malgré les années, maman a conservé toute sa beauté : ses cheveux dorés n’ont pas perdu leur éclat somptueux, ses yeux bleu brillent toujours comme des perles, et sa peau est aussi lisse que sur les photos. Je suis sûre que tous les garçons voulaient sortir avec elle – pas étonnant que papa l’ai choisie ! A l’époque, il était le chanteur d’un groupe de rock. Un jour, il nous a fait écouté à ma soeur et à moi son (seul) album. Il était doué, mais malheureusement, son groupe n’a pas eu le succès qui était prévu, ce qui a beaucoup pesé sur sa carrière musicale. Maman, quant à elle, avait une toute autre vie : elle était mannequin. Mon père et elle se sont rencontrés lors d’un de ses concerts, le 27 aôut 1978, à Paris. D’après mon père, quand il a posé les yeux sur elle, ça a été le coup de foudre. Il a soit disant su que cette personne était faite pour lui avant même de la connaître ! Après le concert, ils ont pris un verre ensemble et se sont trouvés plein de points communs, notamment celui de la scène. Ma mère a mit fin à sa carrière de mannequin, au grand drame des magazines de mode, puis mon père et elle se sont installés en Normandie, près de la capitale, pour pouvoir s’occuper de ma grande soeur et moi. Maman prétend que c’est le pouvoir de la ville de l’amour, qui les a réunis. Je pense plutôt que c’est juste parce qu’elle se trouvait au bon moment sous le faisceau de lumière que papa l’a regardée… Mes parents dirigent maintenant une société qui s’occupe d’organiser des mariages. Leur agence s’appelle The Pierces and Love, et se situe au centre-ville. Maman m’a dit qu’elle a eu envie de faire ce métier parce que son souhait le plus cher est que les autres couples puissent eux aussi ressentir la joie et le bonheur du mariage comme ce qu’elle a vécu avec mon père. Elle s’occupe de la décoration, des tenues et du repas – jusqu’au moindre détail ! La dernière fois, elle a fait scandale auprès du chef cuisto parce que ses bananes flambées flambaient trop… -, tandis que le travail de mon père consiste à planifier la musique et il joue parfois même avec les musiciens ! Je le vois encore, fier et beau sur la scène, et je rêve de pouvoir être à sa place…
CHAP. 2. Panique à bord (et sur scène!)
C’est bientôt mon tour. Kira et James ont terminé leur prestation lamentable. Si le public a applaudi, c’était seulement par pure politesse. Le couple va sûrement penser qu’ils ont étés au top alors que c’est tout le contraire : leur duo de jonglage n’est pas du tout au point, des balles leur échappaient et une est même allée cogner la tête d’un figurant. Je précise que celui-ci se trouvait à l’autre bout de la scène…
Mon téléphone bipe – j’ai reçu un message :
Tobbias : Eh, tu savais que mêmes les plus grandes personnalités avaient le trac avant de monter sur scène ?
Je soupire en lisant le SMS de Tobbi. Voilà trois heures que j’assiste aux performances des autres candidats pour les rôles de Ashley Stars, la comédie musicale de l’école, pendant que mon meilleur ami me bombarde de textos sur la scène et les astuces pour vaincre le trac. C’est sympa, il essaie de me distraire, mais franchement : qui ça intéresse de savoir si Beyoncé a vomi ou non avant son concert à Brooklyn ?
Kira salue son public avec des baisers et des » Merci !, merci ! » à la volée en soulevant les pans d’une robe imaginaire, puis descend de la scène avec un sourire fier. James fait une dernière révérence avant de sortir un sourire que je dois avouer être totalement craquant, espérant pouvoir augmenter ses chances de gagner. Ils sont vraiment à côté de la plaque, ces deux-là ! Qu’est-ce qu’un duo de jonglage aurait à faire dans une comédie musicale ?
Le professeur de théâtre, Mr. Jefferson, tente de trouver quelque chose de positif à dire sur leur prestation. Autant vous dire que c’est pas gagné… Il s’éclaircit la voix avant de parler :
» Hum, commence t-il, c’était, heu… comment dire… Original, créatif. Les, les boules de couleurs qui s’envolent et, et qui partent dans tous les sens, c’était sûrement une façon de représenter l’espoir de l’héroïne qui vole en éclat. N’est-ce pas ? »
N’importe quoi ! Comme si leur numéro catastrophique voulait dire quelque chose ! Ca montre seulement qu’ils ont deux mains gauches, c’est tout. Mais de la part de Mr. Jefferson, ça ne m’étonne pas : c’est le genre de prof qui fait tout pour être ami avec les élèves. On pourrait égorger un chat devant lui qu’il dirait que son cri inspirait magnifiquement bien la douleur ! Et en plus, il traîne tout le temps avec des jeunes et exige qu’on l’appelle » Jeff « , sûrement pour se donner un style…
» Bien sûr ! « , répond Kira, toujours souriante, comme si elle avait compris ne serait-ce qu’un mot de ce qu’il vient de dire… Remarque, c’est bien son genre, aussi, de faire du lèche-cul aux profs.
» Très bien, reprend-il en lui rendant son sourire. Le prochain candidat à passer est… »
Mr. Jefferson parcourt la liste qui se trouve devant ses yeux avant de déclarer :
» Adél Hastings !, c’est à toi. »
En entendant mon nom, les battements de mon coeur s’accélèrent. Des frissons me parcourent alors qu’un bruit aigu m’emplit les oreilles. Je n’entends plus rien, mais je distingue des bribes de paroles étouffées, comme si j’étais sous l’eau. Aux regards impatients que me lancent les autres élèves, j’en déduis que le prof m’a demandé de monter sur scène. Je ferme les yeux et prends une grande inspiration, pour essayer de me calmer : en vain. Je me lève du fauteuil et marche vers l’estrade. Je ressens à présent des picotements le long des bras et des jambes, mais le bourdonnement dans mes oreilles a disparu.
Tous les yeux sont braqués sur moi, et je me sens comme observée au microscope. Chacun des recoins de mon corps vont être étudiés de près, tel un cobaye de laboratoire. Sauf que dans mon cas, je ne dégagerais pas une odeur fétide de boyaux puants dans l’air. Enfin… sauf si je ne fais pas un caca nerveux, ce qui, je pense, et sur le point d’arriver. Je serre les fesses.
» C’est quand tu veux ! « , me crie le professeur depuis sa place de jury.
Je balaie la salle du regard : Kira m’observe, les bras croisés : » Comme si elle allait faire mieux que moi ! « , je lis sur son visage. James, quant à lui, s’amuse à jongler avec les boules qu’il a ramassées tout à l’heure. Manque de bol, il s’en prend une en pleine poire, ce qui fait pouffer de rire le type assis à côté de lui. Ce dernier reçoit un regard noir de la part de son voisin, puis détourne les yeux, livide. Je vois que les B.P. ont toujours autant d’influence… Soudain, mes yeux se posent sur lui. Je n’avais pas remarqué sa présence – je savais même pas qu’il était là ! Depuis quand aime-t-il les comédies musicales ? Il ne devrait pas plutôt sécher les cours avec ses potes pour ensuite jouer à ces jeux débiles que font les garçons comme écraser une canette de coca avec la tête ? Brusquement, ses yeux rencontrent les miens. Il me fixe, intensément. Je sens mes joues virer au cramoisis tandis qu’un sourire se dessine petit à petit sur ses lèvres.
La musique commence. Elle est rythmée et entraînante : elle donne envie de danser. Je me déhancherais bien sur la scène comme l’a fait Lisa McKain, pour sa prestation de danse, mais je suis incapable de bouger, paralysée. Je connais cette sensation. Trop bien, même. Oh non… Ca y est, ça (re)commence… Ma vue se brouille soudainement, et des flashs m’aveuglent. J’entendis des clics d’appareils photos tandis que tout se met à tourner autour de moi, comme aspiré dans un trou noir. La musique a complètement disparue, pour laisser place à des cris et des rires. Le feu me monte aux joues et la panique me gagne. Un noeud s’est formé dans ma gorge, m’empêchant de produire le moindre son.
J’entends, comme très lointaine, la musique de Finally me, qui m’informe qu’on est déjà passé au troisième couplet.
» Qu’est-ce qu’elle fait ?, entendis-je ricaner une voix. Elle va rester plantée là, ou quoi ?! »
Kira. Je vois qu’elle profite de la situation pour essayer de gâcher mon passage…
Il faut que je sorte d’ici. Tout de suite.
J’essaye de me calmer en me concentrant sur quelque chose. Alors que je balaie la salle du regard, affolée, je tombe sur Max, qui me regarde d’un air grave en esquissant un rictus – peut-être se retient-il de rire ? – Ses yeux me transpercent comme des flèches, et l’effet est immédiat : je descends de la scène en trombe, et je cours vers la sortie. (…)
La syntaxe et l’orthographe : il y a en effet du boulot !
Le style est brut de décoffrage, donc il se voit. On s’accroche trop à la forme pour accéder sans effort au fond. Le talent, si vous en avez, n’est pas une source à ciel ouvert il faut creuser !
Sur le fond, le thème me semble un peu « cliché ». Tout le monde a lu le vilain petit canard, La belle et la bête ou Cendrillon. Dans la vraie vie, les « moches » ne sont pas plus vertueux que les « beaux ». Le monde est quand même un petit peu plus complexe que ça. Ce n’est pas parce qu’on a une sale gueule au sortir de l’utérus qu’on est condamné à l’injustice. C’est parce qu’on est humain qu’on y est condamné, personne n’échappe à la condition humaine. Si vous voulez exprimer un ressentiment contre la terre entière, ne vous attendez pas à ce que le lecteur adhère.
Ecrire peut être l’occasion de faire de cette énergie quelque chose de beau. Pour sortir du journal intime il faudrait je crois répondre à une question plus profonde que : « que ressentez-vous ». Cette question serait peut-être : « Qu’avez-vous à dire ? « .
Sinon, je suis d’accord avec vous, ces histoires de beauté intérieure, c’est du sirop. Quand un moche me dit qu’il est moche, si c’est mon ami je lui dit qu’il a raison. Peut-être gratter de ce côté là, avec un peu d’humour ?
Bonjour Ruth,
Merci beaucoup de nous avoir fait partager ce texte !
Comme certaines autres personnes, j’aurai apprécié plus de précisions dans l’introduction par rapport à vos attentes et une relecture (supplémentaire ?) afin d’améliorer l’orthographe, certaines incohérences (le Jordan qui devient Jason par exemple, si je ne me trompe pas) et tournures de phrases. Je pense que le sujet est intéressant et comme vous le dites, peut parler à beaucoup de monde (ados ou non ados). D’autant plus que l’on sent que tout cela vous tient à cœur. D’autre part, je trouve que c’est une écriture naturelle, facile à lire.
Pour la suite de mes commentaires, en l’absence d’indications, je vais partir du principe qu’il s’agit d’un début de roman. Dans ce cas précis, pour moi, cela nécessite d’accrocher le lecteur tout de suite. Et là, j’aurais eu envie de plus de légèreté, de nuances, que quelque chose de particulier ressorte de tout ça. C’est peut-être volontaire de votre part mais du coup, je reste sur ma faim avec ce premier chapitre car j’aurais aimé être emmenée un peu plus loin (même si la dernière phrase m’interpelle). Le deuxième chapitre, lui, nous fait enfin entrer dans l’action. On découvre les autres personnages, on se demande qui est le garçon qui la met dans cet état (s’agit-il du même Max évoqué vers la fin?)…
En définitive, comme le suggère également Peggy dans son commentaire, je ne peux que vous encourager à travailler à nouveau le texte. Il n’en sera que plus riche à mon avis.
En tout cas, bravo à vous de vous être lancée et bonne continuation.
Chère Ruth,
Votre texte m’a beaucoup émue, et je trouve bien courageux de se livrer ainsi. Cela n’a pas dû être facile.
Merci de votre confiance.
Par contre il faudrait que vous corrigiez toutes les fautes d’orthographe. D’autre part on dirait un cri du coeur ou un trop plein qui déborde. Si c’est cela, la première étape est réalisée. Vous avez tout jeté d’un bloc. Maintenant il s’agit de reprendre petit à petit le texte, calmement, en travaillant plus le style, pour qu’il devienne en même temps qu’émouvant, agréable à lire.
Si vous en avez envie, il n’y a aucun doute, vous réussirez. Je voudrais ajouter à tout hasard, qu’on est « moche » pour certains et pas pour d’autres… heureusement !
Il faut être une adolescente pour ressentir ce texte. L’écriture est vacillante mais c’est un bon début. Reste à revoir l’orthographe, mais ça viendra.. D’accord avec Antonio : il serait bon de préciser à quoi est destiné le texte et quelle sont les attentes de l’auteur.
Bonjour Ruth,
j’ai lu votre texte et j’ai eu l’impression qu’il s’agissait de votre propre journal intime, recopié tel quel sans être retouché.
Si tel est le cas, je ne vois pas l’intérêt de le partager, s’agissant d’un premier jet avec les défauts que l’on peut comprendre (orthographe, style…)
Par contre s’il s’agit d’un réel travail d’écriture pour en faire une chronique ou un récit, je n’y ai trouvé aucune accroche pour poursuivre ma lecture, ne sachant pas où vous voulez en venir avec ce témoignage.
D’autre part il y a beaucoup de fautes d’orthographe et certaines tournures de phrases sont plus dans le style « parler » que d’écriture.
Le sujet pourrait être intéressant à traiter en sketches car des situations drôles s’y prêtent. Mais comme je ne sais quel est votre but, je m’en tiendrai là.
Peut-être serait-il bon dans cette rubrique de préciser à quoi est destiné le texte proposé et quelle est l’attente de l’auteur. Car un avis peut vite partir dans tous les sens.
En espérant que cet avis vous sera utile. Bonne continuation.
J’ai lu avec difficulté et sans intérêt un texte trop long et plein de fautes d’orthographe et de grammaire…on se perd dans une histoire en deux chapitres qui n’a pas de problématique et qui ressasse!!!quel dommage! A modifier, à mettre un titre et surtout à relire avant de le lâcher sur le net!
MTR88