Salut ! Je suis la dernière goutte versée…ça ne m’étonne pas, j’aime me faire remarqué !
– Oulala voilà une coquette, manquait plus que ça. Alors que pour une fois, je me sentais en équilibre : moitié plein, moitié vide, dedans et dehors…bref un état parfait.
Contenant moitié eau, moitié air.
– Et oui, mais voilà, je suis là !
– Tu es de trop ! Tu n’es pas bienvenue, sors de là ! Va-t-en !
– Tu devrais juste être flatté de ma présence. Je vaux plus que toutes ces goutes agglutinées en bas, sans personnalité – qui se sont mêlées pour former un tout, ont perdu toute individualité…
La goutte sur le bord du verre prend un malin plaisir à rester attachée à la paroi.
– Je ne vais pas plonger…j’aime prendre mon temps. Te faire réagir, toi mon nouveau corps. Et moi que tu n’attendais pas et qui te pénètre sans autorisation – rires futiles.
– Tu n’as aucun pouvoir sur moi !!
Le verre se met à vibrer pour faire tomber la goutte dans l’eau, la faire se fondre, se noyer, se taire dans l’eau ! Mais la goutte résiste et rit…rit…de plus en plus fort – un rire sardonique, tyrannique, diabolique, insupportable. Le verre en a le vertige, il tangue.. tangue et …se renverse brusquement. L’eau se répand partout entraînant la goutte dans son flot. Le verre est brisé. Un silence de mort résonne.
Considérez mes exercices comme des échauffements. Des tours de piste imaginatifs. Ils donnent l’occasion d’effectuer un sprint mental. Profitez-en pour pratiquer une écriture indisciplinée. Après, vous serez prêt pour un marathon : écrire des fictions : nouvelles, romans, etc.
Désolée, j’ai mal recopié la consigne – j’ai lu discute avec et non drague du coup ma petite ébauche de texte ne répond pas à la demande…
Salut ! Je suis la dernière goutte versée…ça ne m’étonne pas, j’aime me faire remarqué !
– Oulala voilà une coquette, manquait plus que ça. Alors que pour une fois, je me sentais en équilibre : moitié plein, moitié vide, dedans et dehors…bref un état parfait.
Contenant moitié eau, moitié air.
– Et oui, mais voilà, je suis là !
– Tu es de trop ! Tu n’es pas bienvenue, sors de là ! Va-t-en !
– Tu devrais juste être flatté de ma présence. Je vaux plus que toutes ces goutes agglutinées en bas, sans personnalité – qui se sont mêlées pour former un tout, ont perdu toute individualité…
La goutte sur le bord du verre prend un malin plaisir à rester attachée à la paroi.
– Je ne vais pas plonger…j’aime prendre mon temps. Te faire réagir, toi mon nouveau corps. Et moi que tu n’attendais pas et qui te pénètre sans autorisation – rires futiles.
– Tu n’as aucun pouvoir sur moi !!
Le verre se met à vibrer pour faire tomber la goutte dans l’eau, la faire se fondre, se noyer, se taire dans l’eau ! Mais la goutte résiste et rit…rit…de plus en plus fort – un rire sardonique, tyrannique, diabolique, insupportable. Le verre en a le vertige, il tangue.. tangue et …se renverse brusquement. L’eau se répand partout entraînant la goutte dans son flot. Le verre est brisé. Un silence de mort résonne.