D’un fait divers au roman il n’y a qu’un pas
Pendant les vacances, lors des moments de désœuvrement, on jette parfois un coup d’œil sur le journal local.
À cette période, de nombreux faits divers s’y étalent. Violences, crimes, morts, délits et abominations diverses emplissent les pages locales. Photos à l’appuie. Ces petits événements qui échappent aux cadres de la grande actualité n’en sont pas moins uniques. Certains, avec leurs rebondissements, rejoignent l’univers du feuilleton.
De là à « en faire un roman », il n’y a qu’un pas. Alors, pourquoi pas ne s’y attarder plutôt que de les survoler ? Pourquoi ne pas en profiter pour y piocher des idées ?
Les faits divers ont toujours été une source d’inspiration intarissable pour les romanciers. Dumas, par exemple, s’en inspirait très souvent.
Quand vous cherchez une idée pour tuer brutalement un de vos personnages, lisez en détail ces évènements, ils mettent en scène des gens a priori banals, mais dont les actes sont parfois » plus forts que la télé-réalité… »
Lorsqu’il s’agit de tremper sa plume dans le sang, le fait divers est toujours inspirant.
De toutes façons, la vie est un roman !
Merci Pascal de nous le rappeler…
Même Madame Bovary est tirée d’un fait divers.
Un bel été à vous
Tout à fait d’accord, Pascal….mon prochain meurtrier ou meurtrière ou toute autre fente de fortification sera un homme au menton poilu ou une femme à barbe se baladant en burkini sur les plages, repérant les boudins blancs cuisant à même le sable et les retournant de sa fourchette suisse…croyant pouvoir en obtenir des boudins noirs ??
Encore un suspense qu’haletemps sur fond de choc frontal des cultures de charcuteries!