751e exercice d’écriture très créative créé par Pascal Perrat


Le gouvernement préparerait en douce une nouvelle augmentation du kilo Ouateur.
Les amollis protestent déjà.
Inventez la suite
Naissance de cette idée, vidéo
Le gouvernement préparerait en douce une nouvelle augmentation du kilo Ouateur.
Les amollis protestent déjà.
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Le gouvernement préparerait en douce une nouvelle augmentation du kilo Ouate. Les amollis protestent.
Pas plus tard que ce matin, madame Dupont, maîtresse de CM2, avait amené le sujet sur le tapis en posant une question piège à ses élèves :
Qu’est ce qui est le plus lourd, un kilo de plomb ou un kilo Ouate ?
Tous n’étaient pas tombés dans le panneau, ensuite la discussion au sujet de la hausse de tarif avait été vive et fructueuse .
L’institutrice était membre actif du syndicat des amollis tout comme les parents de Martin, l’élève assis au troisième rang côté fenêtre. Elle encouragea son petit monde à réagir.
Le garçon rentra chez lui, pour trouver ses parents en pleine activité, très en colère contre le ministre des finances et ses intentions.
Ils étaient prêts au combat, fourbissant leur arme, à savoir une banderole qu’ils brandiraient à la manif. de samedi prochain devant la préfecture. On pouvait y lire :
» MOLLO MOLLO ! L’ AUGMENTATION NE PASSERA PAS PAR NOUS »
Martin accompagnerait ses parents espérant y retrouver madame Dupont.
Le gouvernement préparerait en douce une nouvelle augmentation du kilo ouateur. Les amollis protestent déjà.
Le gouvernement pense que pour l’instant il n’a pas besoin d’une nouvelle fronde. Il met sa mesure en attente dans un tiroir. Mais, mais…faut quand même faire rentrer de l’argent.
Alors les serpents diplômés font chauffer les neurones. Et voici le plan d’attaque :
1: on entretient la rumeur sur l’augmentation du kilo ouateur. Les amollis font une fixette là-dessus et montent en tension.
2 : on profite de cette agitation pour sortir quelques mesures qui passeront inaperçues, ou presque.
3 : on met en place une taxe sur les cercueils. Motif : l’exploitation du bois dont on se chauffe est de plus en plus coûteuse.
4 : on vote l’impôt sur la larme à l’œil. Motif: on ne peut plus se permettre de gaspiller l’eau.
Pendant ce temps la rumeur fera monter l’excitation des amollis. Ceux ci n’étant pas trop habitués à toute cette agitation, vont s’épuiser. Et cela devrait provoquer, comme une canicule, une hécatombe. Et la taxe sur les cercueils se révélera fructueuse.
On peut aussi organiser des embouteillages dans les cimetières et le chagrin des endeuillés fera couler des torrents de larmes et se transformera en monnaies sonnantes et trébuchantes.
5 : lorsque les amollis seront bien ramollos, ce sera le bon moment de ressortir l’augmentation du kilo ouateur.,
Waouh, le gouvernement et les serpents diplômés se frottent les mains et s’émerveillent de leur ingéniosité à renflouer les caisses de l’état.
Une petite voix s’élève. « Attention à ne pas trop pousser mémère dans les orties, ce qui reviendrait à scier la branche qui nous rapporte. »
Fut-elle entendue cette petite voix ? Pas sûr. Car on a beau être serpents diplômés, on n’en est pour autant, pas moins cons que les autres.
Merci Maguelonne pour ce texte très lucide. 🙂 En effet, faire diversion est une technique d’ingénierie sociale très utilisée qui fut théorisée par Otto Neurath pendant la Première Guerre mondiale. (Voir Wikipédia)
Le gouvernement préparerait en douce une nouvelle augmentation du kilo Ouateur.
Les amollis protestent déjà.
Ils étaient vraiment raplapla, il fallait bien le reconnaître. Des années de service avec des hauts et des bas. Certaines personnes avaient su leur redonner du gonflant. Le cardage avait été « bien ».
D’autres les avaient laissés se ratatiner. Il ne restait plus rien de leur splendeur d’origine. Pourquoi ? Car certains individus très généreux avec ce qui ne les appartenait pas, distribuaient à qui mieux mieux la ouate sans discernement quand ils ne s’en appropriaient pas à titre personnel.
Au meilleur de leur forme, Ils étaient d’excellente qualité, garnis des meilleures ouates. Dans les pires moments, il ne leur restait que poussière. Tel était leur cas ces derniers temps.
Pas un cerveau n’avait songé à prendre soin d’eux, à les garnir, à les préserver. Résultat des courses, pour pouvoir continuer à dormir sur ses deux oreilles, le gouvernement, pris de court, cherche de toutes parts de la ouate, mais les cours de cette noble matière se sont envolés et les fournisseurs, malicieux, face à l’urgence de la demande en profitent pour gonfler un peu plus la note.
Ne reste qu’une solution : répercuter le prix du kilo sur les amollis (surnom utilisé dans les hautes sphères pour désigner les contributeurs assujettis, fatigués et résignés).
Et hop ! Les représentants des ramollis et ceux qui lorgnent avec envie la grande maison où tout est possible, partent en guerre. Tournures de phrases différentes selon l’école à laquelle ils adhèrent, mais le résultat est le même pour tous : NON !
Il n’en a que faire le gouvernement. Ses matelas sont au plus mal. Des coquilles vides. Les douces ouates se sont éclipsées.
Les amollis attendent la riposte. Se croyant pédagogue, le gouvernement assure qu’il négocie d’arrache-pied avec les fournisseurs pour obtenir le prix le plus juste, mais que dans la conjoncture actuelle tout le monde doit se serrer les coudes, sauf exceptions (of course !).
Amollis, peut-être, mais idiots sûrement pas. La protestation s’intensifie. Ça tombe bien, ce sont les vacances. Joli binz en perspective. Quelques râlements, mais comme personne n’a envie de donner sa ouate, la protestation a la voie libre, ce qui met en furie nombre d’entreprises qui voient leur ouate rétrécir au lieu de s’épanouir.
Un concours de tennis. Promesse contre clairvoyance. Match sans fin.
Promesse voulant passer à autre chose, renonce et annule la hausse du kilo de ouate.
Clairvoyance soupire et attend le nouveau flash présidentiel.
Il va bien falloir la payer cette ouate !
Qui peut garnir les matelas ?
Le gouvernement préparerait en douce une nouvelle augmentation du kilo Ouateur.
Les amollis protestent déjà.
Ils pleuraient sur le rationnement de leur quota de douceur. Comment survivre à ça ? Pourquoi augmenter un don qui n’avait pas de prix ? Ils pouvaient être ce qu’ils étaient grâce à leur dose d’amour cotonneuse. Elle leur était indispensable pour affronter le vaste monde qu’ils ne pouvaient supporter qu’avec la certitude de retrouver du réconfort après avoir traversé leurs multiples agressions de tous ordres. Leur seule bulle précieuse devenait une monnaie d’échange augmentant une fois de plus les différences, laissant sur le bord de la route des âmes en peine.
Pas question de se laisser faire. Il fallait organiser la révolte. Ça allait griffer, peut-être même saigner.
Ce que le gouvernement ignorait c’est qu’il existait un vaste réseau de fournisseurs de papier émeri qui, par le jeu des alliances, était des cousins lointains des ouateurs. Etant donné que les membres du gouvernement n’étaient pas les derniers pour s’octroyer, gratuitement de plus est, leur kilo ouateur, un réseau se mit en place pour remplacer la ouate par la toile émeri. Les fourbes en eurent pour leur argent ! Les joues griffées, leur dignité écorchée et leur arrogance élimée, ils durent se rendre à l’évidence que cette réforme ne serait pas la plus facile à faire passer. De plus, l’énergie et les moyens qu’ils mirent à rechercher les fauteurs de troubles, en vain, créa un scandale national car tous avaient pris fait et cause pour les rebelles. Le gouvernement retira sa réforme et les toiles émeri promirent de rester en embuscade le temps nécessaire pour s’assurer que cette promesse s’était inscrite dans le marbre.
Un peu de douceur dans ce monde de brutes, ce n’était plus un slogan mais une nécéssité, une cause nationale.
D’après une certaine presse régionale, le gouvernement préparerait en douce, c’est la moindre des choses, une nouvelle augmentation des kilos ouateurs.
Pour celles et ceux qui, comme moi, ont arrêté leurs études scientifiques au bord de la cour de récréation, je tenais à préciser ce qu’il en est effectivement du kilo ouateur.
Il s’agit en fait de l’unité pratique de tranquillité accompli en une heure par un kilo de ouate, soit l’unité légale du système de mesure permettant à l’état de codifier l’influence du bruit sur la fuite des travailleurs et donc la sournoise possibilité des gens du pouvoir d’augmenter le prix de la tonne de mélange de coton, laine, soie pour les plus aisés, pour éviter que ceux-ci s’installent dans la paresse, la flemme, la fainéantise, la « cosse toujours, tu m’intéresses ! »
Contrairement à ce que notre journaleux du samedi, Pascal, dit le Perrate a écrit, les amollis ne protestent pas. Comme l’indique leur nom, ils ont le soufflet crevé, la banane épluchée, cuite dans le beurre, flambée au cognac, ils en soupé de la durlute !
Pour celles et ceux qui, comme moi, ont arrêté leurs études historiques à la bataille de Marignan, leurs études littéraires à la lecture de Bibi Fricotin , leurs études philosophiques à la biographie de Pierre Dac et leurs études musicales à l’écoute de Mireille Mathieu, je tenais à préciser que :
1 Les amollis vient de l’italien et n’est que le pluriel d’amollo.
2 De son vrai nom, Ah Mollo était un grand activiste, sociologue…qui luttait, à l’époque contre l’invasion des klaxons italiens et des pétarades des Vespa. En fait tout ce qui lui cassait les oreilles lui était cible. Le mouvement gagna l’Europe et la France évidemment. Certains extrémistes considérant les scooters comme des chiottes, les découpèrent en lanières. Ainsi naquirent sur Paris les vespasiennes.
Ah Mollo luttait évidemment contre ces vacarmes en se protégeant les tympans avec de l’ouate. Il en portait souvent, en offrait à ses amis. Il créa même une petite structure, productrice d’ouate haut de gamme, à base de duvet d’autruche, entreprise menée de main de douce maîtresse par sa compagne, Alexandra Motus.
Il en portait évidemment, sauf lors des manifestations silencieuses, pour enfin profiter du calme momentané. Mais son combat faillit s’éteindre, sous les coups de boutoir de la surconsommation.
Donc, vous qui, actuellement, souffrait des conneries publicitaires distribuées par la télé, des fêtes ringardes et dispendieuses, des feux d’artifrics, des boîtes de bruit, des tondeuses à hérissons, des torches vaisselle, des portes qui claquent et des dents qui grincent, manifestez-vous dans le calme, ne devenez pas amollusques, armez en douceur votre coquille et rendez-vous bientôt pour stopper cette infâme augmentation.
« En douce… ! ». Encore un dauphin qui nous prend pour des billes de flipper.
Alexandre Molleton, petit-fils du grand Ah Mollo
PS : Pour les nuls de ma classe de radiateurs, je cause bien, dans ma dernière phrase, du fils aîné du roi, et non du mammifère marin qu’on fait couiner dans des piscines.
– Douce augmentation : oxymore…
– Oxy quoi ?
– Oxymore Joseph, oxymore !
– Pourquoi tu me parles mal aujourd’hui Adrienne ?
– Mais qu’est-ce-que j’ai fait au bon Dieu pour avoir un mari pareil ?
– Et voilà… Tu te plains encore de moi !
– Mais mon pauvre Joseph… Je t’explique ce que je lis dans le journal tout simplement et je te le répète « douce augmentation » est un oxymore et non pas une insulte à ton égard.
– Ah ! Si tu le dis…
– Et « les amollis protestent déjà ». Y avait longtemps qu’on les entendait plus ceux-là !
– Les quoi ?
– Les amollis Joseph, les amollis !
– Comme les œufs ?
– Pitié Joseph, ressaisis-toi !
– Mais c’est quoi cette augmentation ?
– C’’est sur le kiloouateur !
– Ah ! Va falloir faire des provisions alors !
– Mais parait que les amollis ont déjà tout raflé à Carrefour !
– Putains d’amollis !
Ainsi bavardaient tranquillement Adrienne et Joseph un week-end de Pâques.
Quoi qu’on en pense, l’essentiel est de pouvoir communiquer n’est-ce pas ?
Car, amollis ou pas, tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir disait le l’inventeur du kiloouateur.
Sur les ondes de la radio nationale, le présentateur du journal du matin évoque, à nouveau, ce qui a fuité dans les milieux bien informés, comme l’on dit : « Le gouvernement préparerait en douce une nouvelle augmentation du Kilo Ouateur ».
Dans ce pays où la population est très réactive aux changements quel qu’ils soient, le présentateur ajoute que des protestations s’élèvent déjà sur cette hypothèse de hausse.
Depuis plusieurs années maintenant, le pays a vu émerger de nouveaux courants de protestation et il est intéressant d’observer ceux qui réagissent à telle ou telle autre information réelle ou supposée.
Cette fois-ci, ce sont les amollis qui protestent le plus à la rumeur. Enfin, quand je dis les amollis, je devrais plutôt dire les « Âmes au lit ». En effet, ces contestataires revendiquent en cessant toute activité et en passant leur temps sous la couette. C’est une façon de ne pas dépenser d’électricité, l’objet des craintes actuelles !
Déjà au cours des dernières années, et plus précisément, depuis le confinement, décrété lors de la dernière épidémie, des citoyens refusent l’action : plus de travail, plus de dépenses, plus d’activité en dehors des rêves et autres prestations envisageables depuis leur lit.
Vous vous demandez sans doute comment ils peuvent être recensés, comptabilisés comme protestataire ou gréviste. Et bien, les moyens modernes mis en place dans les villes comme les caméras de surveillance ont montré les foyers qui restaient dans le noir dès la nuit tombée, n’éclairant plus leur habitat. Les employeurs ont déclaré les augmentations d’absence sans motif de salariés, les centres commerciaux, la baisse notable de fréquentation de leurs consommateurs habituels. Seuls les structures de livraison à domicile ont vu le chiffre des commandes augmenter.
Ce dernier point ne compense pas la perte de ressources pour le pays en l’absence d’activité, de baisse des rentrées de TVA et toute la désorganisation que ce mouvement produit en s’amplifiant à chaque nouvelle source de contestation.
Las de ces Âmes au lit, qu’aucune instance ne peut représenter comme le font habituellement les syndicats, le chef du gouvernement a donné sa démission au président du pays et compte bien rester quelque temps au fond de son lit à méditer sur la dure existence de la Haute Administration d’un pays démocratique…
Les punaises de lit font mal leur boulot, alors, qu’en très peu de temps, elles pourraient remettre sur pied les âmes au lit !
Merci Nouchka 🙂
Accueillons le soleil et cultivons nos jonquilles ! Le monde est comme on le fait.
Merci Souris verte. 🙂
Prendre en compte, le texte ci-dessus, corrigé. Et supprimer celui-ci. Merci Pascal.
Dans la voix de Capucine, 5 ans :
Quand on parle de ouateur, des « âmes au lit », ça me fait des kilos de peine. Parce que mon papa a été une âme au lit. et il était très en colère.
Puis, il est parti au pays de la ouateur, au-delà des nuages, là où les oiseaux prêtent leurs ailes aux anges, pour ne jamais revenir. Parce que là-bas, c’est très beau !
Quand les ailes sont trop lourdes, on peut les poser. Alors, les anges les mettent sur leur dos, pour les recharger de douce ouateur, et de lumière. Il y en a tellement, qu’elle est gratuite !
Mon papa vient souvent me voir dans mes rêves ; il a un tee-shirt et un bermuda tout blanc. C’est plus commode qu’une tunique, pour venir sur terre, sur le dos des arcs-en-ciel.
Quand je lui crie de rester, il me dit qu’il ne peut pas. Même si je comprends qu’il ne souffre plus, j’ai le cœur très gros, très lourd.
Depuis qu’il est parti, j’ai la maladie du kilo-ouateur.
Les cheveux d’anges…😥
La contestation était sévèrement réprimée. Lutter contre le gouvernement s’avérait être coton. Vous vous retrouviez facilement enfermer dans leurs cellules « Ose ». Les pires de toutes, nommées ainsi par défit aux opposants. Mais les Ramollis étaient très actifs. Ils avaient été mis au courant de ce projet d’opacité (l’augmentation du kilo Ouateur), à l’aide des « F », les agents infiltrés dans l’entourage du gouvernement Préparellulose. Le chef de leur service de sécurité, le père Cale, avait obligé les agents publiques à porter des gabardines afin d’être plus imperméables aux infiltrations. Peine perdue, l’opposition était au courant de tout. Il y eut des manifestations importantes. Des milliers de jeunes se retrouvèrent dans la rue, venus de Jersey et d’ailleurs, affichant des calicots imposants hostiles au gouvernement. Le chef d’Eta y était brocardé ouvertement. Le président R.V Bazin était certes brillant mais demeurait un véritable dictateur. Avec la démocratie, il était plutôt à fleur de peau. Par ailleurs, et ce n’était sans doute pas un hasard, il avait la fibre sensible, la peau allergique. Il ne supportait sur le dos que des tissus hypoallergiques. Il ne s’asseyait que sur de la moleskine et dormait entouré de mousseline vaporeuse. Il lui fallait de la fibre tropicale afin d’éviter les fibres trop piquantes.
Suite à la répression exercée contre les manifestants, les Ramollis, ces « Rats mollis » comme les nommaient la police politique, décidèrent de passer à l’action. A l’aide des « F », tous issus de l’EDF (Elément Devenus Fusibles), ils parvinrent à enlever Bazin et l’enfermèrent dans l’une des cellules d’un monastère, la peau recouverte d’une robe de bure. C’était pour lui insupportable. Bientôt, Bazin supplia ses ôtes qu’on la lui retire. Pour cela, il accepta de signer son abdication. Un vote démocratique fut ensuite organisé. Cela allait de soie.
Un texte qui a de l’étoffe ! Merci Alain Granger. 🙂
Trop piquantes !!! 😆🦉! 🤗.🐀
LA DISPARITION DE DEUX MONDES
En douce, le ‘ciel’ préparait déjà sa révolution de coton. Si les ci-dessus battaient des mains, les ci-dessous s’en plaignirent doucement. Par effet contraire, les gémissements de ces mollassons attisaient la ouateur de ceux d’en haut qui prenaient un malin plaisir à cotoner davantage dans une brume légère et moussue aussi merveilleusement vaporeuse qu’envahissante. Les chouineurs, de réunions en défilés, lochonaient salivairnt en manifestant mollement pour se protéger des sillons d’une bave arc-en-ciel inodorante mais gluante dans le but d’emprisonner cette vapeur cotoneuse. Et ça à marché… Tant et si bien que les malheureux mécontents s’érouffèrent dans leurs sécrétions ainsi que dans cette ouate qui s’est effectivement pris les pieds dans ce tapis gluant.
L’histoire ne dit pas si le ‘ciel’ s’est réjoui de cette situation qui bien sûr vue d’en haut pouvait paraître rocambolesque mais qui en réalité, dans sa réussite fut l’anéantissement de ces deux mondes.
C’est trop dur tout ça, je vais arroser mes jonquilles.🐀
Bien vu Souris verte.
Toujours prête à rebondir Souris verte !!!
Bravo 😉
Souris verte n’est jamais en manque d’idées… Bravo pour votre promptitude matinale.
Bien à vous et bon week-end.
Accueillons le soleil et cultivons nos jonquilles ! Le monde est comme on le fait.
Merci Souris verte. 🙂