654e exercice d’écriture très créative créé par Pascal Perrat

Exercice d'écriture très créative

Une cicatrice raconte sa vie dans un livre titré : Mémoire d’un traumatisme.
Rédigez la quatrième de couverture de cet ouvrage
.

Le but d’une 4e de couverture est d’appâter le lecteur, lui donner envie de lire le livre. C’est une incitation à l’achat.


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32 réponses

  1. Poisson dit :

    Aïe revient sur sa vie. Et en particulier le moment de sa vie où elle s’est sentie la plus vivante, l’apogée de son existence : sa naissance. Moment où tout semblait tourner autour d’elle, où tous les yeux étaient rivés sur sa personne. Elle nous raconte son histoire. Née de la maladresse de son hôte et de la volonté d’une élégante tronçonneuse à la lame affutée, Aïe cherche désespérément à exister parmi les siens. De plus en plus invisibilisée dans une société aseptisée, elle tente d’exister par tous les moyens, y compris les pires. Dans cette autobiographie crue, elle se confronte à cet acte originelle qui lui a donné naissance : la relation sensuelle entre son hôte et une tronçonneuse charmeuse.

  2. Anne LE SAUX dit :

    Elle en avait marre ! Marre de l’oubli, de l’indifférence, des moqueries même.
    Il n’y avait vraiment plus de respect.
    « Dans quel monde vivons-nous » se disait-elle ?
    Elle était pourtant la preuve de la bravoure, du courage, de la témérité. Elle avait subi son sort sans broncher, sans plainte ni atermoiement.
    Elle avait connu la reconnaissance, les récompenses, les honneurs.
    Son heure de gloire était passée, irrémédiablement. Elle allait disparaitre sans laisser de trace.
    Quelle ingratitude !
    Alors, elle vous invite à revisiter son histoire et à partager son stratagème pour marquer définitivement son passage sur cette terre.

  3. mary poppins dit :

    Dans ce vieil immeuble, la concierge madame Silence est bavarde comme une pie et aussi curieuse qu’une chouette. Elle assure ses fonctions avec beaucoup de zèle et est au courant des moindres détails de la vie privée des résidents.

    Pourtant, depuis quelque temps, des faits bizarres se produisent.

    Les murs craquent, les pots de fleurs dégringolent des rebords des fenêtres, les conduits d’aération se bouchent, les appareils électroménagers ne fonctionnent plus que par intermittence, le linge met huit jours pour sécher et les blancs d’œufs refusent de monter en neige…

    Le nouveau locataire du dernier étage y serait-il pour quelque chose ? Et cette cicatrice étrange qu’il porte sur la joue pourrait-elle expliquer tous ces mystères ?

  4. Urso dit :

    Une cicatrice raconte sa vie dans un livre titré : Mémoire d’un traumatisme.
    Rédigez la quatrième de couverture de cet ouvrage.

    Personne ne la connaissait au village, pas même ses voisins les plus proches.
    Elle était discrète et menait une vie solitaire cette petite cicatrice.
    Puis un beau jour ce fut la consternation, les gendarmes débarquèrent chez elle, on sut quelle était inculpée pour le meurtre d’un chirurgien et de deux infirmières, d’une région éloignée de ce village du sud de la France.
    C’était la totale incompréhension parmi les villageois.
    Une pétition fut signée, des élus locaux tentèrent d’intervenir en haut lieu en faveur de la petite cicatrice.
    Subitement le fait divers prit une tournure particulière.
    De son côté, la petite cicatrice indiqua à la presse que dans sa courte vie elle avait ôté la vie à plusieurs personnes du monde médical.
    Au contraire, plusieurs témoins disant bien la connaître affirmèrent le contraire, parmi eux plusieurs boliviens et des japonais. Qu’elle avait fait l’objet d’une machination d’États d’Amérique latine et d’Asie du sud-est et qu’elle était complètement innocente des meurtres imputés.
    À son procès un avocat, encore inconnu, maître Mélanome de la Bistouri, fit une plaidoirie plus que brillante et révéla au monde entier l’imbroglio juridico-politique de ce fait divers qui prit en quelques mois une ampleur considérable à travers la Terre entière.

    C’est le premier roman de Charlotte Cordiert née en 2002 dans un village du Poitou.
    Les critiques voient déjà en elle la graine d’une grande écrivaine.
    Les ventes déjà importantes de ce roman semblent confirmer cette future célébrité.

  5. Laetitia Berdier dit :

    Je l’ai été baptisée Julie, la toute dernière à joindre ce corps qui n’étais pas préparée à l’avoir. D’ailleurs, il est impossible de la voir, elle est cachée sous une autre de notre genre qui est magnifique et merveilleuse, c’est une brune qu’on l’appelle tous Césare ! Julie et Césare sont arrivées en même temps, en urgence, ce n’était pas prévu, contrairement à moi, mais la pièce de leurs naissance est semblable à celle où j’ai vu le jour. À elles deux, elles forment un super duo qu’on appelle Césariennes, elles ont aidées notre hôte à donner la vie, d’ailleurs elles ont une cousine qui s’appelle épisiotomie qui nous a rejoint il y a deux ans. Pour ma part, j’ai aidé notre hôte à rester en vie, l’histoire de ma naissance jusqu’à la naissance de Julie et Césare est magnifique, tous les petits bobos qui étaient là avant moi y sont fiers, cette histoire est aussi la leurs et celle de notre hôte. Régalez vous !

  6. Lonjaret Anne dit :

    La CICATRICE.
    Est-elle une marque mal soignée ? En cours de guérison ?
    On y voit encore quelques fils dépassés.

    Pourtant, il n’y eu qu’un effleurement tout juste perceptible sur l’instant….

    Mais c’est une meurtrissure qui lentement s’insinue.

    On aimerait l’y toucher, regarder. Mais que va ressentir, découvrir le coeur ?

    Je me souviens d’un vase brisé dont les morceaux ont été recollés à la feuille d’or.

    La « cicatrice »….un kaléidoscope où regarder.

  7. Nadine de Bernardy dit :

    Dans Mémoire d’un traumatisme, Estelle Velpeau nous fait pénétrer dans l’univers déchiré de Sparadra, une cicatrice mal aimée.
    L’autrice, elle même rescapée de graves opérations lui ayant valu de longs mois de rééducation douloureuse, nous narre avec un réalisme saisissant le monde de ces balafres impeccables.
    Cependant l’une d’elles, allant du coude au poignet, n’a pas la beauté linéaire de ses voisines. Vilipendée, méprisée, elle tente de se suicider en refusant de cicatriser.
    Vous suivrez avec intérêt le calvaire de cette malheureuse, ratée par un chirurgien sans scrupule.

  8. CATHERINE M.S dit :

    Un, deux, trois, quatre, cinq, six
    Ils se sont mis à six
    Pour me contenir, m’enfermer
    Et m’empêcher de respirer
    Ces fils qui me bâillonnent
    Et m’emprisonnent
    Je vais craquer …
    Oh la la, surtout pas
    Il faut résister à l’envie de faire sauter
    Le cadenas
    Gare aux dégâts !

    Et par-dessus tout il y a ce pansement
    Qui vient mettre son grain de sel
    Substance cruelle
    Comme par effraction
    Sur ma fragile lésion
    Je suis donc enfermée dans le noir
    Tiraillée entre l’espoir et le désespoir
    Combien de temps encore
    Avant la réconciliation des deux bords ?
    Je trouve ma peau bien paresseuse
    De la mettre ainsi en veilleuse
    On dirait qu’elle a un compte à régler
    Avec le coup de bistouri
    Pardi !

    Quelle aventure cette blessure
    Qui a nécessité ces points de suture
    Une cicatrice au milieu du front
    Quel affront !
    Mais , promis
    Je saurai bientôt être discrète
    Pour enfin faire place nette.

  9. RENATA dit :

    Mémoire d’un traumatisme
    L’auteur Carl Glace marque son empreinte avec ce premier essai . Il ose entrouvrir une brèche en laissant l’objet raconter ses souvenirs de stigmates indélébiles .
    Un pare-brise étoilé retrace toutes les agressions subit par ses semblables .
    Des visages et des corps qui les impactent et leur laissent des cicatrices irréparables les destinant au recyclage .
    Comble de l’histoire , ils sont transformés en matériel de chirurgie esthétique .
    Laissez-vous surprendre par le style haute couture de cette histoire .
    Lézardez au soleil et frissonnez face à la vengeance d’objets , destinés à la reconstruction des corps mais devenant sérial écorcheur .

  10. fouret dit :

    ça y est il est enfin sorti ! le très attendu roman de notre inconnu préféré ! 1 mois qu’il nous inonde d’indices en tout genre sur les réseaux, les chaines de TV. 1 mois que quelques lecteurs privilégiés nous divulguent de rares informations sous haute surveillance. 1 mois que nous attendons d’en découvrir le titre, la couverture… Depuis que cet auteur que personne n’a jamais vu, plus connu sous le pseudonyme étrange et pour le moins curieux de « Cicatrice », chaque sortie littéraire est un évènement, une course au mystère. Chacun y va de ses pronostics sur le thème de son futur livre… S »agira t’il d’une comédie ? un thriller ? un drame passionnel ? Ce 8ème livre fera sans nul doute encore une fois parler de lui avec « Mémoire d’un traumatisme »

  11. Maguelonne dit :

    Treize novembre 2013 : 130 morts, 413 blessés hospitalisés. Un concentré d’horreur met en état de choc notre pays.
    Comment soigner, panser, réparer ? Comment adoucir la douleur, comment apaiser ?
    Comment faire de cette plaie purulente une cicatrice de résilience ?
    À la veille de ce terrifiant anniversaire, suivez «  Cicatrice : mémoire d’un traumatisme » sur les chemins du soin, de l’empathie, de l’espoir, du souvenir.
    Lisez «  Cicatrice : mémoire d’un traumatisme » en hommage aux disparus, à tous les blessés, aux acteurs de soins.
    Et que peut-être plus jamais ne soit possible de telles monstruosités !!

  12. mijoroy dit :

    MEMOIRE D’UN TRAUMATISME de Céline CYCATRYL aux éditions Point de suture.
    Josiane Balafresko, coiffeuse au village Lézarde Tranquille se retrouve sur le banc des accusés par une sombre nuit de juin. Elle doit répondre de ses actes répétés sur plusieurs de ses clientes, toutes représentées par leur cicatrice respective. Son avocat revenu d’outre-tombe, Vincent Van Gogh aura-t-il les arguments pour convaincre le jury de la maladresse non préméditée de sa cliente, ayant lui-même en d’autres temps était victime sur son oreille gauche du même préjudice que les plaignantes ? Comment s’y prendra-t-il pour prouver que les ciseaux de Josiane Balafresko sont animés par des forces occultes, faisant basculer sa cliente du statut de coupable à celui de victime ? Comment les cicatrices parviendront-elles à démontrer les intentions malsaines de Josiane dont elles estiment qu’elle a vendu son âme au Diable ?
    Un roman à mi-chemin entre la magie noire et la science-fiction qui emportera le lecteur dans les tréfonds les plus noirs de l’Invisible. Amateur de sensations fortes, de rites incantatoires et de procédés sanglants vous serez comblés en découvrant le mobile du choix des cibles de Josiane.

  13. Kyoto dit :

    Vacarme assourdissant des canons. Silence bavard des soldats. Des éclairs d’horreurs zèbrent encore le regard de Michel Dupin surnommé « La Miche ». Ses blessures béantes formeront-elles des cicatrices indélébiles ? Avec ses compagnons vaincus, il n’a plus qu’une idée dans son esprit torturé : mettre à genoux le maître du monde. Objectif délirant pour une guérison aléatoire.
    Une plume aiguisée pour exprimer la barbarie des uns et la volonté ancrée dans la personnalité d’autres hommes.
    Sombre et poignant.

  14. Alain Granger dit :

    Elle était son passé, son présent et son avenir. Ils s’étaient connus à l’âge où l’on croit à l’amour avec un grand A. Elle avait 17 ans il en avait 22. Ils avaient convolé dans le bonheur d’une journée pluvieuse. Plus vieux, ils l’étaient devenus en s’aimant de plus en plus. Quatre enfants plus tard, ils se regardaient toujours comme au premier jour. Elle badait ses paroles et il buvait ses gestes. Elle ressentait ses inquiétudes et il écoutait ses non-dits. Ils étaient félins pour l’autre. Elle chatte la nuit et tigresse le jour pour sa progéniture. Lui, ocelot dans une ville moins froide, jaguar dans sa BMW et guépard lors du départ en vacances. Leur vie n’était qu’un long fleuve d’amour tranquille.

    Et puis un jour ce fut l’accident. A l’ombre de ses cinquante ans, l’épouse eut une attaque, une hémorragie cérébrale. Si la mort ne vint pas lui prendre la main, elle ne pouvait désormais plus la saisir car elle demeurait paralysée. Même ses mots étaient inertes, empêchés de dire « je t’aime » par une aphasie qui le laissait sans voix. Le mutisme était désormais la deuxième prison de sa compagne. Enfermée dans son corps et dans le monde du silence. Quelle horreur ! Quelle punition injuste pour cette pipelette enthousiaste dont les autres prénoms étaient Générosité et Bienveillance. Tous les jours il hurlait sa douleur. Il insultait Dieu pour son absence d’amour et de pitié et les hommes pour leur incompétence et leur indifférence. Il ne pouvait plus supporter la vie et les avis. Mais il n’eut pas le courage de se l’ôter, la vie.

    Plutôt que de s’envoler sur les ailes de la mort, il décida de s’occuper d’elle, de celle qui n’avait plus que lui comme gardien de sa prison. Les psychiatres écoutaient ses pleurs et lui n’écoutait que les désirs de son épouse au plus profond de son silence. Il lisait sur son visage tout ce que ses mots ne pouvaient exprimer. Il comprit un langage inconsciemment appris durant leurs années de vie commune. Lorsqu’après avoir déchiffré une mimique il avait apporté la bonne solution et décoché un sourire, il éprouvait un petit bonheur qui comptait dans cet océan d’anxiété de labeur. Levé aux aurores pour fermer une sonde gastrique, il se couchait à ses côtés dans un lit médicalisé trop étroit. Mais un sourire de satisfaction de sa compagne lui signifiait qu’il avait bien fait de regarder une comédie romantique à ses côtés. Puis il regagnait son propre lit pour la laisser s’endormir.

    D’arrêts de travail en dépression, il finit par être mis en invalidité. Son traumatisme avait été reconnu par les instances médicales. Mais le destin mit une dernière estocade à son âme blessée. La mort de sa compagne fut en partie la sienne. Il s’écroula sur le sable comme un taureau dans l’arène. Sa petite reine venait de s’échapper de sa prison corporelle. On lui assénait le mot délivrance mais cela ne le consolait point. Le poing tendu vers dieu, il se rebiffait, brûlant les croix de son antique croyance. Lui, il la priait chaque jour pour qu’elle lui fasse un signe. Alors un jour, une cicatrice inconnue apparut sous son cœur en forme d’Y. Était-ce la marque de sa présence, toute proche ? Son Yin était désormais persuadé que son Yang veillait sur lui.

  15. 🐻 Luron'Ours dit :

    654/ JUVA 4 DE COUVE
    Avec  »LE COMPLEXE D’AGRESSION » Juva a réussi un coup digne d’un Kasparov. C’est une remarquable synthèse de ce qui se fait, se fera, devrait être. Elle évite l’écueil d’une sensualité débridée, en louvoyant de Charybde en Scylla, et l’épave du frigide intellect. Tout en brossant le portrait de nos dirigeants, elle a replacé la raie au milieu. En sondant l’intime ego de complexés déjà sclérosés assumés, elle partage les glabres et les moustachus, ces derniers tenants d’un passé glorifié, papistes du patriarcat. Les autres seraient les mutants du  »déjà demain », autistes autorisés autoritaires par média interposé. Si le chauve sourit parfois, il n’en est que plus rare. Juva reste dans le flou où le vague abonde, manie le marteau et la faucille. De l’un elle sculpte l’effigie du blême oragique, de l’autre elle coupe l’herbe sous le pied du mouton de Panurge. Cette énigmatique Juva c’est la dame de pique. Son ouvrage, en langue des chiffres, se vend sous le manteau.
    🐻 Luron’Ours

  16. iris79 dit :

    Une cicatrice balafre le dos d’une jeune adolescente…Cette jeune fille qui mène une vie ordinaire de lycéenne traverse son quotidien ordinaire et retrouve ses amis ordinaires à qui pourtant elle cache un secret. Ses absences commencent à se remarquer. Son entourage s’interroge. Pourquoi disparait-elle de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps ? Qui est cet homme mystérieux à qui elle envoie plusieurs messages par jour ? Comment se fait-il qu’elle couvre toujours un peu plus son corps alors que le printemps est là ?
    Préparez vous à ne plus lâcher ce livre une fois ouvert. Dans ce roman qui fleurte avec le paranormal, l’auteur, Colombe Déridel se joue de nous comme jamais. Tout ce que vous croyiez avoir compris sera remis en cause au chapitre suivant. Ce premier roman est un coup de maître. Attention, vous allez être addict. Vous êtes prévenus.

  17. Nouchka dit :

    Je suis apparue sur le cou d’une femme partie quelques semaines plus tôt en Patagonie et ai émergé sous le soleil printanier de l’Algarve.
    Ma croissance a duré dix jours, me colorant de rose, puis de rouge. J’ai enflé et l’un des randonneurs présents a remarqué et demandé à la femme ce qu’était cette grosseur sur le côté de son cou.
    Rapidement, j’ai dû partager mon étrangeté avec d’autres enflures identiques…

    « Mémoire d’un traumatisme » est le récit à la première personne, qu’une cicatrice fait de son histoire insolite.
    Comment évolue un tel héros ? L’auteur nous propose un récit plein d’imprévus. Le suspense décrit notre époque où se mêle voyages, contacts avec des experts et les tracas de la vie moderne. Une vision originale de notre monde.

  18. camomille dit :

    Comment me suis-je retrouvée sur la lèvre supérieure de la plus célèbre actrice hollywoodienne du moment ?
    Comment ai-je du subir toutes les tortures de différents chirurgiens esthétiques ?
    Comment ai-je supporté ces diverses séances de marabouts ?
    Comment ai-je résisté à toutes ces couches de fond de teint destinées à me faire mourir à petit feu ?
    Comment ai-je survécu à autant de haine ?

    Un incroyable destin nous est dévoilé dans : « MÉMOIRE D’UN TRAUMATISME ».

    Hermine de la COSTA nous embarque avec finesse et sensibilité dans cette histoire qui va nous interpeller sur les maltraitances invisibles.

  19. Grumpy dit :

    « BOUCHE COUSUE, mémoire d’un traumatisme »

    Le dernier polar de l’énigmatique Aaron Pandler va vous laisser coi. Pourquoi ?
    Ce journaliste trop bavard s’est-il réveillé d’un KO la bouche cousue après en avoir été menacé plusieurs fois ? Ses articles et autres interviews auraient-ils dérangé la mafia ? Frissons garantis aux courageux fans de l’auteur qui oseront en tournant ces pages participer au décousu de cette cicatrice au petit point. Parviendront-ils à sa fin en se posant la question point cousue de fil blanc :

    « il a bien parlé, mais qu’est-ce qu’il a dit ? »

  20. 🐀 Souris verte dit :

    654/Une cicatrice raconte sa vie dans un livre titré : Mémoire d’un traumatisme.
    Rédigez la quatrième de couverture de cet ouvrage.

    Je suis… Je suis…
    Il faut le reconnaître, je suis une balafre, un véritable cauchemar pour celui chez lequel j’exerce mon pouvoir.
    Un cauchemar indispensable car il le reconnaît lui-même, il vit avec !
    Installée depuis quelques années je fais bien en sorte qu’il ne m’oublie pas, ce serait la fin des haricots pour nous deux. Je me suis insinuée, assez adroitement je dois dire, au moment d’une rupture. Alors qu’il avait pris ça avec une certaine désinvolture, je l’ai piqué avec l’aiguillon de la jalousie et ça a fait l’effet escompté… Il est devenu vert, puis tourna fesse d’huitre. Trop contente je pris mes aises pensant bien m’installer définitivement. A partir de là, ce fut pour moi un  »plein temps » car le bougre a tendance à la bonne humeur et le ramener à la morosité n’est pas une mince affaire. Toujours sur le qui-vive, au premier sourire… toc je déploie mes ailes de chauve-souris coincée dans le beffroi et tape là où ça fait mal.
    Lui s’assoit en position du lotus, respire profondément et hop ! Lui et moi partons aspirés par les nuages de la volupté tranquille.
    Hou la la… Mais que m’arrive-t-il ? Voilà que dans une ronflement paisible… je lâche la rampe. Après tout…
    Qu’il vive comme il l’entend… Moi, enfin je souffle.
    🐀 Souris verte

  21. FANNY DUMOND dit :

    « Mémoire d’une cicatrice » est le premier roman autobiographique de Cicatrice. Avant qu’elle disparaisse, elle nous offre une lecture palpitante, trépidante pour nous relater ses péripéties depuis sa naissance dans un hôpital, suite à l’accident de trottinette du jeune Kevin, jusqu’à sa résorption.

    Ses premiers lecteurs ne tarissent pas d’éloges pour cet ouvrage singulier.

    « Sept points de suture pour un page-turner drôle, attachant qui ne laissera pas indifférents les amateurs de frissons. » – Éditorial du magazine « entre nous »

    « Une première œuvre atypique qui fera date dans la sphère littéraire. » -Berny Pavot au cours de son émission « Esperluette »

    « Une héroïne qui restera longtemps dans les mémoires. » – Comité de lecture d’un centre de rééducation mémorielle

    « 250 pages de pur délice, à dévorer sans modération au coin du feu » – Lectrice anonyme

  22. françoise dit :

    654/Une cicatrice raconte sa vie dans un livre titré : Mémoire d’un traumatisme.
    Rédigez la quatrième de couverture de cet ouvrage :
    A la fin du livre vous saurez enfin de quel traumatisme il s’agit,comment il est né, comment , sans l’aide de Freud, il a disparu, et vous découvrirez à quoi je ressemble et je suis sûre et certaine que d’ici peu vous consulterez un chirurgien pour avoir la même que moi (on vous laissera le choix de la main : droite ou gauche. (moi j’ai choisi la main gauche pour que celle-ci ne soit pas cachée lors d’une poignée de main)

  23. Patricia dit :

    Je n’étais que la cicatrice de la cicatrice de la cicatrice.

    Cela faisait des lustres que je m’ouvrais et me refermais, sans répit. Pour quelles raisons ? Pourquoi devais-je toujours revivre la même histoire ? Ouvrir, souffrir, refermer, ouvrir, souffrir, refermer ?

    Cela m’a pris du temps, mais ça y est, j’ai trouvé. J’ai revisité mon passé, mes épreuves, j’ai revécu mes expériences et j’ai fini par me révéler à moi-même, à m’accepter et enfin à trouver le repos.

    J’ai aussi retrouvé ma joie de vivre en vivant sereinement le présent, en évitant d’anticiper le futur et en faisant table rase du passé.

    Comment ? Facile. Suivez-moi, je vous montre…

  24. Jean Marc Durand dit :

    Après 20 ans d’esclavage bureautique, Jean Claude Dupont se décide enfin à poser une semaine de congé pour occire son patron. Celui-ci, à 12 ans, dans la cour de l’école, lui avait déjà piétiné son premier smartphone. Jean Claude Dupont a mangé froid pendant 20 ans. Sa détermination est bouillante. Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que son patron a une femme, 2 chiens et un perroquet. Jean Claude Dupont trouvera t’il le chemin pour flinguer son traumatisme ??? Mystère, en 128 pages.

    « Jean Marc Durand, maître de l’humour iconoclaste a encore frappé fort avec son dernier roman teinté tour à tour de l’esprit de Swift, de celui de Rabelais et de Pierre Desproges. Son roman va être adapté par l’une des jeunes pointures du cinéma Grolywoodien, Gas von Bergman ! C’est peu dire !  Et garder vous la chute pour la fin ! CHUT !»
    Jean Charles Breton (L’écran solaire)

  25. Antonio dit :

    MÉMOIRE D’UN TRAUMATISME d’Oscar Feyss aux Éditions Balafré

    L’inspecteur Tony Scary est au point de suture. Sa vie ne tient désormais qu’à un fil. Après avoir sombré dans l’alcool, déversé le pus de ses maux dans la compresse, il décide de regarder le monde et la vérité en face. Il entreprend alors un périple pour retrouver les traces de son père et comprendre pourquoi il les a plantés, sa mère et lui, à sa naissance. Débarquant à Opinel, il découvre, la mort dans lame, qu’il arrive trop tard. Loin de mettre un cran d’arrêt à son enquête, il entame une véritable introspection, à travers le miroir, ressuscitant les fantômes de ses ancêtres qui le mèneront aux sources du Trauma.

    Dans ce troisième volet de sa trilogie, Oscar Feyss nous fait entrer dans la face cachée de son personnage fétiche, Tony Scary, jusqu’à nous en tirer les larmes.

  26. Laurence Noyer dit :

    C’est l’histoire des mémoires
    D’une quatrième de couverture
    Qui s’est retrouvée au dépotoir
    Le dos cloqué de boursouflures
    Sans indemnités compensatoires
    Elle avait fait l’objet de mesure
    Dans le milieu littéraire
    Et soumise à la torture
    Elle avait été contrainte
    De dévoiler l’intrigue
    De préciser le style
    De dénoncer l’autrice
    Elle en était sortie
    Striée de cicatrices
    La jaquette en lambeau
    Les mots saccagés de maux

    « … il vaut mieux couvrir les couvertures
    Pour les protéger de la critique
    Et n’être pas trop dithyrambique
    En matière de littérature…. »

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