422e proposition d’écriture créative imaginée par Pascal Perrat

Exercice d'écriture très créative

Nos pronostics pour cette nouvelle année engagée dans Le Grand Prix du Temps :

Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche.
Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances.
Dans la 3e, surveillez Mars de la Giboulée, casaque grise, il devrait surprendre.

19 réponses

  1. Anne dit :

    Il devrait surprendre…. Les équidés bien qu’apprivoisés demeurent avec un instinct sauvage. La course, c’est eux qui décident de l’issue. Le jockey, bien sûr les encouragent, il donne une forme, un cadre, des stimulus, mais le fond… C’est le cheval. Il est intuitif, comme l’écriture qui se laisse aller. De leurs sabots, ils laissent 1 trace sur la piste. Alors oui, ils sont grisés, il y a une émulation avec leurs congénères. Que c’est beau de contempler leurs foulées, leurs musculature saillante. De les voir transpirer dans l’effort.

  2. SMITS Laurence dit :

    422e proposition d’écriture créative
    Le Grand Prix du Temps :
    Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche.

    Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances.

    Dans la 3e, surveillez Mars de la Giboulée, casaque grise, il devrait surprendre.

    Dans la 4e, méfiez-vous d’Avril de la Fleur, tout sourire, qui ne se découvre pas d’un fil, casaque jaune pétillant, qui pourrait détaler au dernier moment.

    Dans la 5e, Mai de la Haute, qui fait ce qu’il lui plait, casaque bleue arrogante. Il saute haut mais tombe parfois pour un rien.

    Dans la 6e, Monsieur Juin de l’Eté, à la fière allure, domine tous les participants, changeant l’herbe en foin, casaque verte.

    Dans la 7e, le douteux Juillet, un coup beau, un coup pluvieux, un coup orageux, casaque orange, pourrait sortir de nulle part, au détour d’un virage.

    Dans la 8e, l’étalon Août en personne, parfois trop sec en jambe, casaque rouge vif, risque de se traîner dans la poussière qu’il crée lui-même.

    Dans la 9e, l’automnal Septembre se met en quatre pour faire vivre les quatre saisons en quatre semaines, casaque violette, hésite sur le parcours à suivre. A ne pas trop dédaigner tout de même !

    Dans la 10e, le vendangeur joyeux d’Octobre, à moitié pluvieux, à moitié dans la boue sous le vent, casaque bigarrée en rouge et blanc, s’enivre de l’été indien aux couleurs irisées. Je ne miserai pas sur lui.

    Dans la 11e, le grenier rempli de Novembre, prétend devancer tous les autres concurrents. Casaque bicolore, grise et blanche. Il donne l’impression de traîner mais peut se revigorer à la dernière minute.

    Dans la dernière course, la 12e, les pieds blancs de Décembre ralentissent sa course. Il patauge, se traîne, avance difficilement, tout enguirlandé qu’il est. Il est en boule et a perdu sa casaque. Laissons-le se calmer pour l’An Neuf !

    BELLE ET HEUREUSE ANNEE A TOUS ET TOUTES

    LAURENCE SMITS

  3. On célèbre sans y penser vraiment la succession des mois de l’année. Mais qui les connaît vraiment ? Aujourd’hui, reportage exclusif sur la personnalité de chacun, à l’occasion de leur grande assemblée annuelle . Laissez-moi vous les présenter :

    Janvier est un mois auquel on ne peut pas se fier. Bien que débutant l’année, il a toujours un regard vers l’année précédente, comme pris d’un regret nostalgique. C’est un agent double. Il est entre deux eaux, le cul entre deux chaises. Il est triste et sans couleur. Ça fait belle lurette qu’il a laissé là son manteau blanc pour s’habiller d’un gris terne. Il est susceptible et se fâche pour un rien. Au moment où je vous parle, il boude dans son coin en prétendant qu’il n’est qu’un intermédiaire sans importance.
    Février passe son temps à faire valoir ses droits d’handicapé : il est en effet amputé de deux jours même si une fois tous les quatre ans on lui accorde une prime spéciale d’un jour pour le consoler. Il se prétend donc, en tant qu’infirme, prioritaire en toutes occasions, prétend avoir droit à des égards, et il brandit sa carte sous le nez de quiconque le contredit.
    Mars est un mois soupe au lait. Batailleur, changeant d’avis comme de chemise, il cherche perpétuellement querelle, notamment à janvier qu’il déteste pour lui avoir pris sa place et qu’il traite de vieux ronchon. Janvier lui a sorti qu’il ne pouvait pas être en tête de l’année parce qu’on avait déjà essayé mais que les « ides de mars » n’avaient réussi à personne. L’autre l’a traité de jaloux et lui a postillonné des giboulées d’injures au nez. Alors janvier furieux lui a dit que si on parlait des « ides » de mars c’est parce qu’il n ‘avait que des moitiés d’ « idées». Il a fallu séparer les combattants et c’est février qui s’y est collé, pariant qu’aucun des deux n’aurait la lâcheté de taper sur un infirme. Jusqu’à présent il tient son rôle avec succès.
    Avril est arrivé à la réunion en retard parce qu’il avait passé du temps à compter ses fleurettes, tout fier des premières pâquerettes, des jonquilles, des primevères … qui jonchent ses jardins. Il grelotte des derniers frimas mais sourit aux anges. Il reste à la vitre de la fenêtre et papote avec le rayon de soleil timide qui s’est introduit dans la salle, curieux de cette assemblée.
    Sa seigneurie Mai entre, en majesté dans une houppelande de fleurs magnifiquement épanouies, et regarde de haut avril, qui ne se découvre pas devant lui, même pas d’un fil. Sur sa couronne est dressé un régiment de clochettes blanches, qui tintent en harmonie à chacun de ses pas. A son entrée le silence se fait, et chacun s’incline. Il s’assied sur son trône, après avoir ramassé autour de lui la traîne bariolée de sa cape immense.
    Derrière lui, Juin passerait inaperçu s’il n’était pas si grand et longiligne. Mais il est précédé de son ombre, qui s’étend démesurément à travers toute la pièce et annonce sa venue. Il connaît son importance et s’enorgueillit de contenir les jours les plus longs de l’année. Il représente le printemps accompli et se sent à l’aise dans l’assemblée. Il s’étale dans un siège confortable et suit les discussions avec un détachement d’aristocrate.
    Juillet arrive avec sa serviette de plage autour des hanches et demande quelques minutes pour se rhabiller. Il a les cheveux mouillés et sort visiblement d’un bain de mer. C’est un inconséquent qui ne pense qu’aux vacances et passe son temps dans l’eau. Quand bien même on lui proposerait la fonction de leader, il la refuserait. Trop contraignant. Et pourquoi passerait-il son temps enfermé dans un bureau à régler des problèmes administratifs alors qu’il fait si beau dehors !?
    On entend un pas traînant. Impossible de ne pas l’identifier : Août entre en scène. Son ascendance directe est la limace. Il est en sueur et commence par demander si on a prévu des glaçons pour l’apéro. Hirsute, yeux mi clos, il décrète qu’il ne participera aux discussions qu’après la sieste. Il récupère un verre d’orangeade avec trois cubes de glace, et se laisse tomber comme une masse dans le fauteuil le plus proche où il s’endort aussitôt dans les bras de Morphée.
    Septembre arrive en trombe, au pas de l’oie. Muni de son inséparable longue baguette, il tape sur la table et réclame un peu de silence. Il s’enquiert aussitôt de l’ordre du jour qu’il inscrit sur le tableau de conférence avec des grands A et des petits b dans l’ordre des sujets à traiter. Quand il se retourne pour demander s’il y a des questions, personne n’écoute. Alors il donne deux heures de colle à janvier qu’il surprend à discuter avec son voisin de derrière. Janvier proteste, mais l’autre lui rétorque qu’avoir un visage et une bouche derrière la tête ne lui donne pas tous les droits. Janvier quitte la salle en disant qu’un des deux « lui » est décidément de trop.
    Octobre flamboie dans son costume neuf. Il en change tous les ans mais cette année il est particulièrement fier de celui-ci : un dégradé du jaune au roux le plus profond en passant par les marrons variés aux couleurs chaudes, le tout avec quelques reliquats de verts et deux trois touches de noir ! Du plus bel effet. Il tournoie béatement pour se faire admirer. Il a convoqué son copain le vent pour faire vibrer et crisser les feuilles. Il est d’excellente humeur, sourire aux lèvres, et égaye les lieux de son foisonnement de couleurs.
    Personne n’a entendu venir Novembre, qui s’est faufilé jusqu’à la cheminée où il a échafaudé un grand feu pétillant. Juillet en profite pour y faire sécher sa serviette, mais s’éloigne aussitôt de la chaleur trop intense. Novembre, lui, pousse un rocking-chair chair confortable, avec marchepied, à bonne distance du foyer, s’enveloppe dans une couverture, pour soigner ses rhumatismes. Il s’installe confortablement, et se plonge dans les aventures de Robinson Crusoé. Comme il est à moitié sourd, les paroles ne le dérangeront pas.
    Ça chuchote tout d’un coup avec des sourires en coin. Le clou de la journée s’annonce. Et chacun se réjouit à l’avance des interventions de Décembre l’Illuminé dans la discussion. Septembre soupire. Il ne peut pas le sentir mais il lui faudra pourtant, lui le cartésien, subir encore les élucubrations et les raisonnements fantaisistes de cet olibrius qui ne connaît aucun frein, qui prétend inonder le monde des lumières de sa Raison. Il répète – radote ? – qu’il a vu la Vierge et que ça lui donne une autorité. Celui-là, septembre trouve qu’il a sa place en bon dernier, à la queue des mois de l’année ! Et encore, seulement parce qu’on ne peut pas s’en passer… En attendant il brille des mille feux des guirlandes de noël dont il s’est empêtré et reste dans la nuit son domaine pour qu’elles scintillent davantage.

    Aujourd’hui, le calendrier est en fête et ces douze mois assemblés se joignent à moi pour fêter 2019. Ils boivent à votre santé, et font des vœux pour la réalisation, tout au long de l’année, de vos souhaits les plus chers !

  4. AB dit :

    EXCELLENTE ANNEE 2019 PASCAL ainsi qu’à votre famille et à tous les abonnés.

  5. AB dit :

    2018
    Dernier jour de l’année, faut-il l’honorer
    Ou bien lui faire un pied de nez ?

    Demain, 2019, J’opte en JANVIER pour la joie et l’espoir
    Pourquoi imaginer le pire quand il reste même une seule chance d’y croire.

    FEVRIER, recouvre toi de neige
    Et la terre frémira, reconnaissante d’aise.

    Quand à MARS, comme une gourmandise
    Offre tes giboulées rien que pour me combler !

    AVRIL, réveil nature et mention « bourgeons », les arbres te remercient
    C’est aussi le mois de mon anniversaire et du décompte du temps, presque un défi.

    Ouf, MAI, tu t’engouffres, tu t’imposes, chez toi tout me plaît,
    Les jours qui grandissent, les week-ends qui grossissent et la douceur des soirs frais.

    Je commence à m’habituer à la luminosité des jours parce que toi, JUIN, de lumière tu me couvres,
    Tout m’émerveille, le chant de l’oiseau, la fleur embaumante et la fête de la musique que j’approuve.

    En concurrence, JUILLET, plus chaud, plus vacancier, plus désiré.
    N’est-ce que pour sa chaleur ou bien pour les congés payés ?

    Quant à toi, AOUT, rien à envier à ton prédécesseur
    Rires des enfants et des parents, adieu leçons apprises par cœur,
    Vogue la vague, transpire la route et brûle le soleil
    Tout vit au ralenti, tant mieux, pour cela tu n’as pas ton pareil !

    Mais SEPTEMBRE te pousse, lui, à fort à faire
    D’un coup c’est la rentrée, il n’y a plus qu’à recommencer parce que c’est nécessaire.

    OCTOBRE pointe là, le bout de son nez, je ne m’en suis pas rendu compte
    Les feuilles par terre dans un patchwork de couleurs et la nuit déjà, qui tombe.

    Vas t’en NOVEMBRE, tu me rappelles de tant tristes souvenirs
    Te traverser, vite, gommer ton vent, ta tristesse, c’est ma façon de réagir.

    Pour accueillir enfin DECEMBRE et tous ses cadeaux, sa lumière, sa joie et ses envies
    Réveillonner, danser pour oublier, s’amuser, espérer et aimer, aimer jusqu’au bout de l’année et de la nuit

  6. françoise dit :

    Nos pronostics pour cette nouvelle année engagée dans Le Grand Prix du Temps :
    Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche. Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances.Dans la 3° rhume de Mars, casaque couleur nuage, devrait faire partie de l’un des pick 5 du jour. Dans la 4° poisson d’avril pourrait être à un fil de la victoire. Dans la 5ème Hirondelle de mai peut s’envoler vers la ligne d’arrivée. Dans la 6ème Juin d’équinoxe, si le soleil est de la partie, peut briller ; dans la septième , juillet d’été, blessé au sabot lors du dernier quarté, ne semble pas être au meilleur de sa forme  mais malgré tout pourrait créer la surprise; dans la huitième, lion d’août , dont le jockey court sous les couleurs « société » a l’air au meilleur de sa forme ; équinoxe d’automne, dont ce sera l’ultime course, n’a peut-être pas dit son dernier mot ; fougueux octobre, devrait tout mettre dans la balance ; Frileux novembre, casaque molletonnée, pourrait triompher en cas de mauvais temps ; solstice décembre, casaque de mousquetaire brodée, pourrait nous étonner.
    Bonne chance.

  7. Grumpy dit :

    L’entraîneur M. Ferré du Sabot, craint et réputé pour sa main de fer, a réuni ce matin du 31 décembre l’ensemble des membres de l’Écurie de l’Émir du Qatar afin de présenter le planning et la liste des sélectionnés aux 12 courses maîtresses de l’année nouvelle commençant le lendemain.

    Tout le monde est au garde-à-vous devant les écuries. Les chevaux, premiers concernés, ont bien sûr eux aussi été convoqués et priés de tendre les oreilles, de passer la tête hors de leur stalle pour répondre à l’appel de leur nom en hennissant un bon coup.

    Ils trépignent d’impatience et de curiosité, raclent du sabot, ouvrent grand les narines, certains sourient, d’autres soupirent et balancent la queue. Chaque jockey (45Kg tout compris) a bien du mal à contenir son champion et doit lui tenir la bride courte et bien serrée.

    L’entraîneur vérifie que personne ne bouge ni ne moufte et prend enfin la parole tenant sa liste droit devant :

    – Janvier : FER DE LANCE : Grand Prix d’Amérique / Vincennes
    – Février  : QUATRE FERS EN L’AIR : Grand Prix de Paris / Vincennes
    – Mars : CHEMIN DE FER : Dubaï World Cup
    – Avril : OXYDE DE FER : Derby d’Epsom
    – Mai : FER BLANC : Grand Steeple Chase / Auteuil
    – Juin : FERRUGINEUSE : Jockey Club / Chantilly
    – Juillet : MASQUE DE FER : Grand Prix de Saint-Cloud
    – Août : FREIN DES QUATRE FERS : Grand Prix de Deauville
    – Septembre : FER PLAY : Prix du Moulin de Longchamp
    – Octobre : BON A TOUT FER : Queen Elizabeth II Stakes / Ascot
    : FER A REPASSER : Prix de l’Arc de Triomphe / Longchamp
    – Novembre : PEUT MIEUX FER : Melbourne Cup / Australie
    – Décembre : FER FORGÉ : Hong Kong Vase / Chine

    Voilà, terminé, et pas de commentaires, aucune réclamation admise. Chacun n’a que ce qu’il mérite et, tant du Jockey que du cheval, celui qui n’est pas content saura qu’il existe une liste d’attente.

    Ceux, les veinards, qui partiront à l’étranger, veuillez vous présenter au bureau des passeports sans attendre, les formalités sont longues, administration oblige.

    Tous sans exception, passez au soigneur pour les vaccins, au pressing pour les casaques, au matériel pour les cravaches quant aux sabots et aux bottes, chacun cire les siens.

    Mes vœux à tous, profitez de faire ce soir la seule et unique bombe de l’année, que les meilleurs gagnent, gare à ceux qui perdent, et maintenant …

    au TURF, Rompez !

  8. Clémence dit :

    Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche. Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances. Dans la 3e, surveillez Mars de la Giboulée, casaque grise, il devrait surprendre.

    Il avait mis une année entière à digérer l’échec cuisant que lui avaient infligé sa bande de morveux. Et il avait également mis une année à mijoter sa vengeance. Celle-ci serait terrible, Lutö en était convaincu.
    Lutö Pyste – fils d’un écrivain anglais et d’une artiste grecque – proviseur d’un établissement prestigieux, avait été pris à son propre jeu. Il se remémora le thème qu’il avait imposé pour les travaux de fin de trimestre: « Illustrez la désobéissance par un défi ». Résultat : les amphithéâtres furent vidés des étudiants une semaine durant.
    Un sourire machiavélique se dessina sur son visage.
    – Pour cette année, je les aurai, je les aurai,  gronda-t-il en consultant son programme. J’en ai assez de leurs turferies et autres turpitudes. Je vais leur offrir une année d’enfer. Douze mois inoubliables ! Cette fois, ce sera du lourd.

    Lutö Pyste laissa glisser son doigt sur la liste figurant en première page. Aucune case vide. Les conférenciers qu’il avait sollicités avaient tous répondu favorablement à son invitation.
    Le proviseur prit une feuille et un stylo- réservoir à plume d’or. Une habitude dont il n’avait pu se séparer malgré tous les avantages offerts par les nouvelles technologies. Après quelques exercices d’assouplissement du poignet droit, sa main se mit à courir avec allégresse.

    Exposé 1 – suivi d’une table ronde avec un panel judicieusement choisi et sous la houlette d’un mathématicien hors pair. Pour lui faciliter la tâche, il s’octroya le droit de rédiger l’introduction en ces termes : « Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche. Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances. Dans la 3e, surveillez Mars de la Giboulée, casaque grise, il devrait surprendre. » Il continua : «  A partir de ces propos, calculez les probabilités de …. ». Lutö Pyste laissa tomber son stylo après avoir noté : « C.V. assurera la suite. »
    Que souhaiter de plus ?
    Il s’empara de son téléphone et pria sa secrétaire de lui apporter un café.
    Un léger tapotement à la porte et miss Agatha fit son entrée. Petite robe noire et tablier blanc de dentelle. Sourire canaille. Plateau d’argent, tasse de porcelaine, cuiller en vermeil et trois chocolats. Après avoir savouré sa petite récompense, le proviseur se remit à la tâche.
    Exposé 2 – Lutö Pyste écrivit : «Le malheur veut que le désir des richesses soit l’un des instincts les plus solidement rivés au cœur de l’homme… etc, etc. voir  R. Mauzi. ». Pour cette séance, ce serait aussi musclé qu’un match de catch. Il ferait monter des philosophes sur le ring : M.H., BHL, R.E et R.G. Lutö aimait ça : un combat vif, comme le printemps ! Prometteur !
    Que souhaiter de plus ?

    Le proviseur jeta un œil distrait sur sa montre et décida qu’il était temps de s’accorder une pause. Il se leva et se dirigea vers son gramophone. Il déposa sur la platine un vinyle 33 tours. Maria João Pires. Concerto 25 de W.A. Mozart. Le troisième mouvement. Sublime.
    L’âme légère , Lutö Pyste reprit sa plume. Première moitié accomplie. Restait la seconde. Torride en son début, glaciale pour sa finale.
    Que demander de plus ?

    Exposé 3 – « …Un peu de poésie dans ce monde de brutes ! » nota Lutö Pyste, qui avait ses favoris, comme dans les cercles hippiques, à moins que ce ne soit celui des poètes disparus. « Opposez ou complémentez les duos Apollinaire/ Leconte de Lisle ou Hugo/Musset selon les deux axes conceptuels : L’excellence clarifie les blocages motivationnels du méta-contexte et Le recadrage stimule les paramètres participatifs des bénéficiaires.
    Que souhaiter de plus ?

    Satisfait de cette audace littéraire, le proviseur envisagea une suite et fin grandiose avec le dernier volet.
    Exposé 4 – S.V.T. Hubert le Québecois ferait encore une fois des étincelles, pour ça, il pouvait lui faire confiance ! Cette séance entrerait dans les annales interplanétaires…
    Que souhaiter de plus ? Un détail, peut-être …

    Et juste pour son plaisir personnel, Lutö passa en revue les sites les plus prestigieux que portait la planète. Les mégalithes, les temples, les pyramides, l’Atlantide et le phare d’Alexandrie, sa lumière, ses sirènes…
    Lutö sentit monter en lui la fièvre, pareille à celle du samedi soir! Il ouvrit le premier tiroir de son bureau et s’empara de son smartphone. Liste des contacts. Il ne dépassa pas le A. Frénétiquement il tapa un texto.
    « Chère Alexandra, je te souhaite une très heureuse année, riche en… »
    Lutö Pyste suspendit son geste puis cliqua sur la touche «Effacer».
    Il posa son smartphone et se prit la tête entre les mains. L’instant était crucial et magique à la fois. Il reprit son smartphone et pianota :
    «  Alexandra, veux-t m’épouser ? »
    Quelques secondes plus tard, son écran affichait : « Vous avez un message ».

    © Clémence.

  9. Liliane dit :

    J. pour honorer l’an neuf
    Se met sur son trente-et-un.
    Délicatesse !

    F., handicapé par de l’absentéisme,
    Se console avec les Valentin.
    Amour !

    M., offre le printemps,
    Et la renaissance.
    Joie !

    A. Pas de surprise :
    Accroche un poisson.
    Décroche la lune !

    M. célèbre ses ponts
    Fait ce qui lui plaît.
    Insouciance !

    J. Une nouvelle saison !
    Plein soleil.
    Chaleur !

    J. Escapades estivales
    Estives escarpées.
    Evasion !

    A. brunit les corps
    Vide les esprits.
    Farniente !

    S. Cartables et devoirs.
    Copains et crayons
    Grises mines !

    O. Couleurs chatoyantes.
    Eté indien.
    Douceur !

    N. Souvenirs et commémorations.
    Cœurs en berne.
    Respect !

    D. Guirlandes et confetti.
    Sourires enfantins.
    Bonheur !

    Chantez ! Gambillez !
    C’est la fin de l’année !
    Vive la Nouvelle Année !
    Chantez ! Gambillez !

  10. iris79 dit :

    Merci Pascal pour vos voeux.
    Une très belle année 2019 à tous. Qu’elle soit aussi douce et paisible que possible.

  11. iris79 dit :

    Nos pronostics pour cette nouvelle année engagée dans Le Grand Prix du Temps :
    Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche. Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances.
    Dans la 3 ème, « mars printanier », casaque verte, redonne de la lumière aux déprimés de l’hiver.
    Dans la 4 ème, « sourire d’avril », casaque de fils, devrait dépasser sans pro-blème les mois les plus courts
    Dans la 5 ème, « Belle de mai », casaque fleurie, éblouit autant que la pro-messe de longues journées ensoleillées
    Dans la 6 ème, « feu de juin », casaque flamboyante, est aussi attendue que les fêtes de la Saint Jean
    Dans la 7 ème, « brise marine de juillet », casaque bleue, dans sa course in-croyable, nous transporte au-delà des mers dans les embruns de l’été
    Dans la 8 ème, « Grand Soleil d’août », casaque à bretelles, nous éclaire de sa lumière estivale et détend nos corps fatigués
    Dans la 9 ème, « été indien de septembre », casaque rousse, ralentit sa course et retient comme il peut les derniers concurrents avant la dernière ligne droite
    Dans la 10 ème, « automne d’octobre », casaque de feuilles, raccourcit son allure et ses jours
    Dans la 11 ème, « déprime de novembre », casaque grise, attend fébrilement sa poursuivante de décembre
    Dans la 12 ème, « fêtes de Noël », casaque étoilée finit grande gagnante de ces courses de l’année.

  12. pissenlit dit :

    Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche.

    Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances.

    Dans la 3e surveillez Mars de la Giboulée, casaque grise, il devrait surprendre.

    On attend toute votre attention pour Fil D’Avril, dans la 4ème, monté par Jean Bourgeon, casaque verte et toque jaune.

    Joli Mois de Mai, dans la 5ème, a la faveur des parieurs. Entraîné par Fleur Jasmin, il est coté à 2 contre 1.

    Dans la 6ème, le vainqueur l’an passé du trophée de la Cerise, Solstice d’Eté, reviendra après une longue blessure hivernale. Gageons qu’il sera en forme.

    Vacances de Juillet dans la septième à l’instar de Parasol d’Août dans la 8ème, tout d’eux de l’écurie de Jean-Claude Moisson, profiteront du terrain sec de l’hippodrome pour s’affirmer, n’en doutons pas.

    Rentrée de Septembre, reposée après des vacances bien méritées au haras du soleil est cotée à 3 contre 1. C’est la grande favorite de cette course. Montée par le Jockey Pierre Lemaitre d’Ecole, l’homme en forme du moment.

    Dans la 10ème, en casaque orange et toque rouge, Julie Vigneronne, montera Six Octobre qui reste sur deux victoires consécutives et ne déçoit jamais ses parieurs.

    Nous ne finirons pas nos pronostics du grand prix de l’Année 2019, qui, exceptionnellement compte douze courses, sans vous parler de Armistice de Novembre qui, bien que vieillissante, nous a montré, l’an passé sa soif de victoire. La retraite n’est pas pour demain en ce qui concerne cette belle jument à la robe bais.
    Enfin dans la 12ème et dernière course de cette réunion exceptionnelle, Nicolas Dessin va donner son numéro fétiche à Joie de Décembre; la jeune jument portera le numéro 6 et sera montée par Noëlle Joyeuse en casaque verte et toque rouge. Des surprises de taille sont attendues dans cette course, et nous sommes certains que le champagne pétillera de toutes ses bulles dans la coupe du vainqueur.

  13. Souris-Verte dit :

    🐀 IMPÈR’HIVER ET PASSE AU GALOP DU TEMPS
    L’hiver est arrivé, tout tranquillement.
    Pourtant cette année, il a laissé au soleil et la place et le temps.
    Janvier s’impose, s’installe en ville et sur les jardins.
    On le voit dès le matin à frimas habiller les arbres de leurs casaques glacées.
    Janvier s’étire jusqu’en février qui le pousse dans la course du temps.
    Février galope, patauge dans ses bottes givrées,
    Passe talus et fossés
    De sa cravache il ne badine pas, pressé tant et tant, heureux de raccourcir le nombre de ses jours pour arranger l’an.
    Jours qui pourtant s’allongent doucement jusqu’à chatouiller Mars.
    Mars, dieu de la guerre ne se laisse pas faire.
    Regrette la pureté du blanc neige, apanage des mois d’avant…
    Mars dans sa casaque grise-mine, manifeste et tempête de ses giboulées de grêle et de ses pluies.
    La terre fait le gros dos en se gorgeant d’eau..
    Mars filtre les rayons du soleil naissant comme une fileuse tricoterait le temps.
    De ses doigts de chaleur encore bien écartés, clarté tamisée douce, source de caresses, échauffent les arbres dont les branches explosent en bourgeons de couleurs pastelles.
    Soleil qui teinte en rose les joues et fait sourire les demoiselles.
    Mars a beau faire, à la course du temps il arrive en tête pour annoncer la nouvelle saison et fêter le printemps.
    🐀 Souris-Verte

  14. Ophélie E. dit :

    Nos pronostics pour cette nouvelle année engagée dans Le Grand Prix du Temps :

    Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche.

    Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances.

    Dans la 3e surveillez Mars de la Giboulée, casaque grise, il devrait surprendre.

    Dans la 4e Malicieux d’Avril, casaque saumonée, méfiez-vous de ce boute-en-train.

    Dans la 5e, Clochette de Mai casaque verte, vous portera bonheur au grand galop.

    Dans la 6e, Solstice de Juin, casaque jaune sautera par-dessus un feu de joie.

    Dans la 7e, Thermidor de Juillet, casaque rouge, harassé, arrivera bon dernier.

    Dans la 8e, Foule d’Août, casaque bleue, ne suivra pas le peloton.

    Dans la 9e, Regrets de Septembre, casaque mauve, traînera des sabots.

    Dans la 10e, Flamboyant d’Octobre, casaque orange, franchira le poteau pour votre anniversaire.

    Dans la 11e, Brumeux de Novembre, casaque opaque, regimbera.

    Dans la 12e, Espoir de Décembre, casaque dorée, guidera chaleur et amour dans votre foyer.

    Le Grand Prix du Temps se terminera à la Saint-Sylvestre et devant son indéniable succès il sera reconduit l’année suivante.

    Je vous remercie infiniment Pascal pour vos meilleurs vœux. À mon tour, je vous souhaite une année riche de Bonheur, fertile dans vos passions et de longues amitiés. À l’année prochaine pour d’autres joyeuses aventures !
    Patricia

  15. Blackrain dit :

    Avril devrait se découvrir dans la 4e en franchissant la rivière sur le fil avec sa casaque à raies. Il nage comme un poisson. Pour la 5e, Mai va entrer en lys puis l’emporter comme une fleur avec sa casaque coquelicot. Juin doit fumer ses concurrents dans la 6e. Il a tendance à se mettre en pétard lorsqu’il porte sa casaque à feuilles vertes. Juillet, casaque vieux rhum, pourrait gagner ses lauriers dans la 7e si ses arts de la tactique sont bien utilisés et que son jockey ne le mène pas à la Brutus. Aout a ses chances dans la 8e, casaque soleil et toque azur, mais il craint les coups de chaleur sur certaines plages horaire. Septembre vendange parfois ses courses et finit souvent 7ième, mais cet ambre de sa casaque toque souvent sur les raisins de sa colère pour donner un bon cru dans la 9e. A l’égale de sa consœur, si Octobre voit rouge, on risque de voir sa casaque à faucille, conduire son jockey jusqu’au portes de Moscou dans la course suivante. Pas d’armistice pour Novembre dans la 11e. Avec sa toque poilue elle saura trancher dans le vif. Même si cela vous paraît blizzard, Décembre réduira en cendre ses adversaires dans 12e et dernière course. Loin d’être un navet, il vaincra alors que ses potes iront dans les choux.

  16. Nadine de Bernardy dit :

    Nos pronostics pour cette nouvelle année engagée dans le Grand Prix du Temps.
    Dans la première course nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier casaque blanche.
    Dans la deuxième,Rude de Février casaque givrée, a toutes ses chances.
    Pour la troisième,une pouliche à l’aise sur terrain lourd,montée par Jules Printemps se détache du peloton: Giboulée de Mars.
    Puis vient une course prometteuse avec Ne Te Découvre Pas d’un Fil qui,blessé,avait du rester au repos quelques mois, mais revient en grande forme.
    Dans la cinquième nous avons Belle de Mai fille de Janvier et d’ Ephéméride 3,lignée prestigieuse dont la progéniture semble ne pas décevoir son propriétaire le comte Calendard de la Poste.
    Viennent ensuite les courses d’été,plus légères, avec des jockey stagiaires qui montent des cracks en fin de carrière comme Juin du Cap Breton,Feu d’Artifice,Marie Mère de Dieu.
    La première course de la rentrée,très attendue,voit des valeurs confirmées comme Déjà Septembre,Eté de la Saint Martin en favoris, tous deux casaque orange et rouge aux couleurs de monsieur Marcel Dalmanach Vermot.
    Octobre maintient la tendance avec de jeunes chevaux fringants et des jockeys bien entraînés.
    Troisième course de la rentrée,Toussaint l’Ouverture a une bonne cote à égalité avec une pouliche normande,Chrysanthème du Haras.
    Enfin l’apothéose,le Prix Spécial de Noël qui se joue à Chantilly avec de prestigieuses montures: Guirlande Lumineuse,Messe de Minuit et Réveillon en Famille en tête de liste.
    L’année se conclut en beauté, permettant d’attendre le très prochain Grand Prix du Temps prévu à la mi janvier 2020.

  17. Sylvianne Perrat dit :

    Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche.
    Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances.
    Dans la 3e surveillez Mars de la Giboulée, casaque grise, il devrait surprendre.
    Dans la 4ème, vous attendrez Avril, la printanière avec impatience : 1er bourgeon, premier frisson.
    Pour la 5e course, avec « Mai ne te découvre pas d un fil »,
    vous serez au balcon pour ne pas en perdre une miette
    Pour les 6e, 7e et 8e courses, vous serez aux anges à moitié nue, pour voir défiler les plus beaux étalons Juin, Juillet et Août.
    Septembre fera une rentrée triomphante et vous fera gagner la 9e course de fournitures.
    La 10 e course Octobre sera sobre.
    Pour la 11e course, Novembre sous les cendres fêtera tous les saints et les malsains.
    Si vous êtes encore sur l hippodrome de la vie, la dernière course de l’année vous apportera cadeaux à l’envi.

  18. Laurence Noyer dit :

    Janvier : Deuxpoubelles, ne pouvant plus se sentir misent sur un peu de Ceci et de Cela

    Février : Unmot s’enthousiasme, il n’est plus seul au départ, il retrouve le ……. de son père, quelques ……. de sa mère, ses émotions brament dans les sous-bois de son être

    Mars : Grandchemin prend un petit sentier par la main et se met sous les ordres du starter.

    Avril : Plume qui avait pris son rôle trop à la légère suit au galop les routes qui ne savent pas où aller,

    Mai : La colère du driver d’Àquoibon déchire le ciel, et éclate au moment où on ne s’y attendait pas. Ses éclats se disséminent tout alentour du sulky.

    Juin : Buvard arrive trop tard parce qu’une aiguille à tricoter a un démêlé avec une pelote d’étrier.

    Juillet : Révolte minuscule, dans l’écurie de Potdyaourt à %.

    Aout : Tricherie dans les paris : VénérableChêne laisse croire qu’il peut bouger ses branches sans le souffle du vent.

    Septembre : PlusJamais n’émet le moindre son. Cet outsider s’appelle désormais le « muésicien »,

    Octobre : Ratdesvilles prenant trop d’embonpoint a été déclaré forfait par son entraineur qui a remplacé ses chèvres par des chaises

    Novembre : Papotage entre Patati et Patata pour décider si les clairs de lune sont à la bonne hauteur pour la course d’obstacle

    Décembre : Un puceron juché sur le dos d’Unescargot fait le guet à l’entrée du paddock. Il attend la sortie de PP le jockey, toque déjantée, casaque loufoque, prêt pour la photo-finish.

  19. Françoise - Gare du Nord dit :

    422 Nos pronostics pour cette nouvelle année engagée dans Le Grand Prix du Temps :
    Dans la première course, nous vous conseillons de miser frileusement sur Janvier, casaque blanche. Méfiance

    Dans la 2e, Rude de Février, casaque givrée, a toutes ses chances. Confiance

    Dans la 3e surveillez Mars de la Giboulée, casaque grise, il devrait surprendre. Espérance

    Dans la 4e, Poisson d’Avril, toque étoilée, se révèle être un cheval imprévisible et facétieux. Piètre engeance

    Dans la 5e, Premier Mai, casaque jaune, yearling performant pour sauter les ponts. Aisance

    Dans la 6e, Solstice de Juin, casaque bleu-nuit, toque jaune, risque de ne pas voir le jour. Inconstance

    Dans la 7e, Quatorze Juillet, toque et casaque « bleu-blanc-rouge », grandissime favori dans le Grand Prix d’Amérique. Vive la France.

    Dans la 8e, Week-end du 15 Août, casaque foncée, risque, hélas, de se trouver bloqué dans les stalles de départ en raison de l’affluence à l’Hippodrome de Deauville. Constance

    Dans la 9 e, Vendanges de Septembre, casaque lie-de-vin, présente de grands espoirs d’être un grand cru. Abondance

    Dans le 10e, Marie-Octobre, jeune jument tenace et revancharde, a de grandes chances de trouver réparation face à sa rivale Révolution d’Octobre, dimanche prochain à Longchamp. Vengeance

    Dans la 11e, Onze Novembre, toque et casaque grises, risque de faire grise mine, mais non pâle figure, au Critérium des 3 ans. Nuance

    Dans le 12e, Étrennes de décembre, vulgaire canasson, vous obligera à ouvrir votre porte-monnaie. En récompense : le sourire fleurira sur les lèvres du lad et du jockey. Pure médisance.

    Je présente à tous les abonnés mes meilleurs vœux pour une heureuse année 2019 imaginative et créative

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