Romancer sa vie » juste ce qu’il faut «
Si vous êtes abonné à ce blogue, vous avez certainement remarqué qu’Antonio Pereira a une plume inventive. Elle est au service des personnes souhaitant raconter leur vie ou un évènement survenu au cours de leur existence.
La plume d’Antonio apporte un peu de légèreté et de relief aux récits de vie. Elle romance « juste ce qu’il faut » vos souvenirs pour qu’ils palpitent.
Peut-être, allez-vous dire : je mène une vie ordinaire, pourquoi la raconter ? Elle n’intéressera pas grand monde.
Détrompez-vous, votre existence a beaucoup d’importance.
Cet « après vous » sera probablement une trace de notre civilisation. Imaginez que l’intégrisme islamique gangrène la France, ou qu’un dictateur comme Poutine prenne le pouvoir en France..
Que feront-ils tout de suite ?
Comme d’autres avant eux, ils détruiront toutes les œuvres. À commencer par les livres. Toutes traces de démocratie et de liberté seront effacées.
Mais ils ne parviendront jamais à détruire ce que chacun d’entre nous peut retenir chez lui, dans sa famille, la mémoire de notre petite vie.
Sans doute pas extraordinaires, mais suffisantes pour rappeler que notre civilisation existait.
Peu importe ce que vous allez raconter, envisagez cela comme l’ont fait nos ancêtres en immortalisant leur passage sur terre dans les grottes de Lascaux et ailleurs. Il y a environ 21 000 ans…
Je suis hors-n’homme. Un neuroatypique à dominance dyslexique atteint d’aphantasie : incapable de fabriquer des images mentales et de se représenter un lieu ou un visage. Mes facétieux neurones font des croche-pieds aux mots dans mon cerveau et mon orthographe trébuche souvent quand j’écris. Si vous remarquez une faute, merci de me la signaler : blog.entre2lettres(at)gmail.com
Merci Jean-Marc. Merci Pascal !
C’est une vraie aventure humaine, autant qu’un challenge créatif que de pimenter une histoire vraie avec de la fiction. Cette dernière n’est pas là pour embellir, encore moins altérer la vérité de celui qui raconte, mais pour créer des tensions, relever des émotions, et surtout, ne pas ennuyer le lecteur, quel qu’il soit. C’est le défi que j’ai relevé l’an dernier dans un roman historique publié qui remettait le village cathare d’un ami au coeur des événements du Moyen-Âge.
Par contre, Pascal, je ne fais las les grottes, juste un livre à enterrer dans le jardin, au cas où Xi, Vladimir, Marine ou un intégriste venait à menacer le récit de nos histoires 😉
Bonne aventire, Antonio!
Bonne aventure, Antonio!
A vouloir enjoliver sa vie -peut être pour en effacer les horreurs- on deviendrait vite mégalo. Non? 🐀
Toute existence est intéressante, la raconter sans ennuyer ce n’est pas une maladie psychiatrique