Êtes-vous sûr d’être en empathie avec vos personnages ?
Êtes-vous habité par votre personnage principal et les autres ? Avez-vous la propension d’être cet autre quand vous le faites agir, dire, penser, rêver ? Êtes-vous en empathie avec chacune et chacun dans l’histoire que vous leur faites vivre ?
Sans empathie réelle avec les personnages, sans une implication émotionnelle en phase d’écriture il s’installe vite une distance entre l’auteur (e) et son histoire. L’histoire racontée activera peut-être le cerveau du lecteur mais ne fera pas palpiter son coeur.
Quand on ouvre un livre, on espère lire une histoire bien construite, mais surtout quelque chose qui nous transporte, qui nous touche. Si, à la relecture, votre histoire ne vous touche pas vous-même, si elle ne vous émotionne pas un peu, vous pouvez vous interroger…
On doit entendre battre le cœur de vos phrases, le souffle de vos personnages. Il s’agit de tout faire pour que le lecteur entre dans votre livre et qu’il vive ce qui se passe, page après page, sans jamais s’ennuyer ou se détacher.
Si je me fie à Wikipalia l’empathie « est la compréhension des sentiments et des émotions d’un autre individu, voire, dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances. La capacité de comprendre, de ressentir les sentiments ou de se mettre à la place d’une autre personne. »
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Pas d’accord avec Alain Granger…Les personnages secondaires ne « servent pas la soupe » (un peu méprisant, non ?). Ils sont importants et apportent de la finesse, de la mesure, de la subtilité au texte, même s’ils sont de grossiers personnages, bien sûr…!
Etre en empathie avec ses personnages me parait être en partie nécessaire pour les principaux et en partie inutile pour les silhouettes qui ne sont là que pour servir la soupe aux principaux. Ils vont rapidement disparaître du récit.
Essayer d’écrire avec ses tripes est la moindre des choses
Hello
une histoire se vit, quelle soit raconter ou écrite par soit ou par une autre personne, un livre et un films Philadelphia vous mets par terre tant la sensibilité et présente. La ligne verte et un autre phénomène de la littérature qui vous mets par terre tant c’est prenant.il y a tant de beau livre qui transporte ainsi, réaliser un livre ou un conte de la même façon ce serai quelque chose.
Moi, je me méfie de mes personnages, ce sont souvent des assassins …
je suis presque sûr , la preuve quand j’ai fini d’écrire le petit texte du personnage qui allait à la cave pour vieillir comme le bon vin et bien à la fin j’étais en larmes …. et j’ai toujours besoin e donner un nom à mes personnages de l’es identifier comme des amis
Bonjour,
Je viens de lire sur linkedin une information qui pourrait vous intéresser.
Des physiciens de Rennes 1 ont percé le mystère de la dyslexie via @ouestfrance
Cordialement,
Merci Ghislaine. C’est très sympa de nous transmettre cette information.
Utile à rappeler bien sûr.
Pour ma part chacun de mes personnages est un peu de moi ou de mon ressenti ou vécu. Je suis très narcissique (sourire)