2 abonnées, publiées chez Edilivre, nous font part de leur expérience

Belle en mai Hosten

Je suis sûr que cette nouvelle écrivaine n’a pas fini de nous étonner.

Belle en mai paraît chez Edilivre

Vous venez d’essuyer votre front perlant le doute (parfois la déréliction) une dernière fois et posé le fameux, le trop célèbre point final de votre manuscrit.
Votre œuvre est achevée, ce qui en soi était une gageure hier encore.
Vous caressez un espoir, fou peut-être, d’être édité.
Vous n’osez y croire et vous n’avez pas tort considérant la probabilité au profil anorexique d’être publié.
Vous avez déjà tenté l’avis de votre mère, de votre meilleure ami(e) et déjà regretté parce que leurs remarques condescendantes pleines de compliments énamourés ne peuvent satisfaire votre soif de critique objective. Vous vous frottez alors (ou pas) à l’œil acerbe d’un coach littéraire, un animateur d’atelier d’écriture ou de tout autre professionnel des mots en priant secrètement qu’il ne vous regarde pas, la pitié dans les yeux, après conseil.
Bref, un parcours du combattant résolument inapte à combler les affres du doute mais avant tout, impuissant à pallier ce qui vous ronge, vous dévore, vous grignote jour après jour : l’ENVIE. L’envie de clore le dernier chapitre, l’envie du grand saut, l’envie de ce format papier tant espéré, le fantasme de votre nom sur la couverture, l’envie de livrer enfin « votre bébé » et de passer à autre chose. Alors, vous furetez, vous vous renseignez sur les « maisons », les lignes éditoriales, les courants.
Oh les grands noms de l’édition…Pour ma part, je n’ai pas même essayé.

C’est le hasard qui a décidé quelque part.

J’ai tout d’abord visité le site internet d’EDILIVRE. J’ai été séduite par leur dynamisme, la diversité de leurs auteurs, de leurs collections et je l’avoue sans honte, la simplicité de la soumission par téléchargement au format Word en direct sur leur site, et l’assurance d’une réponse qui ne soit pas à six mois.
Autrement dit, presque en dilettante, le manuscrit truffé de fautes d’orthographe et insatisfaite de mon travail (mais il faut bien arrêter de réécrire un jour ou l’autre), j’ai posté le colis. Je vous épargne les détails de l’acceptation 10 jours plus tard de ma demande (passés la stupeur béate de la lecture du mail, une espèce de danse version Moon Walk et le sms à ma mère…). =Un simple mail avec les détails de finalisation, des corrections, de l’envoie du Bon à tirer.
L’équipe a été très efficace, disponible. Ils vous passent un coup de fil pour s’assurer que vous n’avez pas de question particulière. Du bon à tirer définitif à l’édition, un délai ultra court de quelques jours. Vous avez un compte auteur personnalisé, bardé de conseils et de pistes pour faire votre promotion, participer à des salons littéraires et suivre vos ventes.
Je suis au balbutiement puisque le manuscrit doit être déposé à la BNF et qu’un délai supplémentaire de 45 jours est nécessaire afin de trouver votre ouvrage en librairie.
Toutefois, il est immédiatement disponible sur le site de l’éditeur, en version papier et en version téléchargeable. De quoi satisfaire vos envies, la curiosité de vos copains, et commencer à faire marcher les réseaux avant de vous frotter aux libraires et aux dédicaces.

Et à partir de là, se trame quelque chose d’insidieux auquel vous n’aviez peut-être pas songé : une nouvelle ENVIE. L’envie de vendre, l’envie d’un public, l’envie que vos lecteurs vous racontent leurs impressions, bonnes ou mauvaises d’ailleurs. Au départ, je me disais que l’essentiel était accompli. Mais à la parution, une autre aventure commence. Un monde auquel vous ne connaissez rien, mais qui vous tente. Je vous raconterai donc la suite dans les prochains mois. Rien à voir avec un trip égolâtre, une machine à polir votre élan narcissique. Non, juste voir grandir ce bébé que vous avez porté, des mois durant, parfois des années. Vous ne pouvez vous résoudre à en « rester là ». L’aventure continue et le plus dur reste à faire.

J’ai eu la chance du débutant puisque n’ayant essuyé aucun refus, je ne peux témoigner que de mon expérience.
Mais pour que l’on croie en vous, il faut d’abord se faire confiance, lâcher prise et se jeter à l’eau. »

Littérairement vôtre. Isabelle HÉLIOT.

 » Se faire publier chez Edilivre ne coûte rien.


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Deux possibilités s’offrent à vous : vous pouvez en acheter un certain nombre (avec des remises allant de 15 à 30 % selon la quantité commandée)
et vous vendez vous-mêmes vos ouvrages sur des salons, ou lors de conférences, rencontres, etc.

est de voir son ouvrage exister. Le fait qu’il se vende est pour lui secondaire…

d’Edilivre.

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