Un comité de lecture universel
Fini, ou presque, le temps où l’auteur d’un manuscrit le déposait au secrétariat des éditeurs proche de chez lui et l’expédiait par la Poste en joignant, respectueusement, une enveloppe affranchie pour les frais de réexpédition…
Et il en était ainsi depuis des décennies.
Imposé de l’extérieur et non par un dirigeant omnipotent, ce changement radical ne fait pas dans la demi-mesure.
C’est déjà le cas aux Etats-Unis où des sites comme Smashwords, par exemple, publient des milliers de nouveaux de livres numériques chaque jour.
Des livres publiés directement par leurs auteurs. Dès qu’un de ces e-book devient un succès sur Internet, les grands éditeurs traditionnels se jettent dessus.
Pourquoi s’en priver ?
C’est écrit…