Choisir un traducteur humain ou robotisé ?
Un ami, présumant que son livre écrit en français intéressera les lecteurs anglo-saxons, a contacté des traducteurs.
La traduction automatique d’un texte écrit donne aujourd’hui de bons résultats si le sujet est simple.
Google en tête, mais aussi Microsoft ou Facebook offrent des systèmes de traduction permettant des traductions grossières. Ils sont capables de traduire approximativement un courriel, un tutoriel ou un article basique.
Mais quand il s’agit d’’intelligence artificielle (IA) a ses limites.
Comprendre la subtilité d’un jeu de mots, ou le double sens d’un terme n’est pas encore à la portée des meilleurs algorithmes.
Pour la littérature, mieux vaut s’en remettre à un traducteur humain.
Mais les systèmes de traduction instantanée progressent très vite.
Si rapidement qu’ils mettent déjà en danger le noble métier des interprètes et des traducteurs.