Après 40 ans notre imagination trottine en charentaises

À moins d’y prendre garde, après 40 ans notre imagination commence à pantoufler.
Si pendant l’enfance elle se nourrit des défis à relever, après la quarantaine, elle les évite.

Pourquoi ce déclin imaginatif ?

Parce que plus on devient adulte, plus on se conforme aux règles, à la morale, à la pensée du milieu dans lequel on vit et plus on perd sa candeur, sa fraîcheur et son indépendance d’esprit. Irrémédiablement, la routine s’installe, puis survient un lent déclin intellectuel.
Tout en étant persuadé d’être toujours aussi jeune d’esprit.

Une fois bien installé dans la vie, on ne voit pas arriver la date de péremption de son imagination.

Au cours du temps, on s’installe de mieux en mieux dans des habitudes de vie et de pensées et de plus en plus confortablement. Tandis que les années passent…
Généralement, une fois que nous avons trouvé une stabilité de vie, nous devenons des « ça me suffit » et nous veillons à ne pas courir de risque. C’est déjà un pas vers la régression imaginative.
 » Bientôt la retraite, c’est fini, je ne changerai pas à mon âge, c’est trop tard, dans mon temps, etc. »

Chers abonnés, rassurez-vous, ce qui précède ne vous concerne pas.

Fort des connaissances acquises et des expériences vécues, votre imagination en pleine maturité retourne à sa fraîcheur de perception – celle de l’enfance – et se réalise, chaque samedi, à travers vos écrits.

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* Principalement les exercices.

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