Antonio a testé l’autoédition pour publier son roman

Antonio témoigne comme il s’amuse de son expérience dans un article sur son blog, avec l’humour et le style qu’on lui connaît.
Extraits :
« Un livre, c’est un auteur et un éditeur. Point. Le premier pond l’œuvre et le second la féconde. Ainsi a toujours œuvré la litté-nature, mon p’tit poussin ! »
Alors des œuvres non fécondées, forcément, ça ne couve rien de bon.
Seulement, les temps sont en train de changer, ma poule, dit l’âne.
Le marché de l’autoédition est en plein boum, au point de briser un tabou cette année en présentant un roman autoédité en vitrine d’un prix littéraire (« Bande de Français » de Marco Koskas au Prix Renaudot). Et bam !
Après avoir trouvé portes closes chez de nombreuses maisons d’édition, je me suis rendu chez les banques de « s’permettre de s’auto-publier» sur les multiples plateformes dédiées.
Et là, quelle n’a pas été ma surprise !
Toutes vous promettent des étalons en puissance avec une qualité de prestations irréprochable pour une jouissance de revenus mirobolants en retour.
À mon entrée sur les plateformes d’auto-publication, j’ai d’abord longuement reluqué le cas de Librinova, très attirante dans sa tenue transparente, et recommandée par certaines maisons « closes » maquées avec.
Mais l’idée de devenir la poulette d’un agent littéraire, une fois que mon livre s’est bien vendu (1000 ebooks quand même !), m’a semblé un peu pervers.
Après avoir éliminé les trop « vulgaires » Lulu, Kindle d’Amazon, Iggybook, à services minima3, m’être embrouillé avec Atramenta pour usage de pratiques à compte d’auteur4, je suis finalement monté avec Publishroom pour obtenir l’insémination de mon roman.
Après trois semaines d’une collaboration enthousiaste, au moment de signer le contrat d’autoédition, voilà qu’elle décide d’y mettre un terme, du fait que je lui demandais d’y préciser formellement ce qu’elle me vantait oralement.
Frustré, je suis allé me consoler dans la chambre de Bookelis5, sa collègue, avec une tout autre pratique puisqu’elle, ne simulait pas. J’étais l’éditeur, à moi de prendre mes responsabilités jusqu’au dépôt légal et gérer ma petite entreprise une fois notre affaire conclue… comme un grand garçon.
Me voilà dépucelé et un roman dans le tiroir.
Vous pouvez lire l’article dans son intégralité sur son blog Le Café de la Page blanche
Si, comme moi, vous aimez le rugby, allez faire un tour sur la pelouse des Brèves d’Ovalie, les chroniques d’après match rédigées par Antonio, il les assaisonne à sa manière.
« Comment écrire son premier roman » est épuisé. (Edition 365) vous pouvez l’acquérir à moitié prix au format PDF.
Comment trouver l’inspiration pour écrire ?
Laurence Smits prodigue sur son blog ses conseils pour trouver l’inspiration et offre des guides très pratiques pour écrire. Prendre le temps de visiter son site est enrichissant