Un livre qui a du chien…

Ce livre est une petite merveille. Si vous avez un animal de compagnie dépêchez-vous de le lire. Comme moi, vous serez ravi et touché par cette histoire qui se déroule il y a un demi siècle, mais qui nous parle au présent. Joie et tristesse alternent. L’auteur avait un don d’observation rare, sans anthropomorphisme. Parfois Kafka n’est pas loin…

Editions Circé poche




Vous êtes en panne d’idées ?

Vous êtes en panne d’idées ?

En manque d’inspiration pour commencer la journée ?

Piquez une tête dans votre imaginaire, là où votre mémoire a stocké des millions de sensations et d’images.

Comment faire ? C’est très simple, revoyez le jouet que vous avez tant aimé. Celui avec lequel vous avez tant joué : poupée, petite voiture, figurine, etc.

Il ne s’agit pas de trouver tout de suite des idées, mais de ressusciter des émois, des émotions, des sensations, et bien sûr, les images de votre album imaginaire.

Après, vous verrez, plein d’idées surgiront.

D’autres conseils, astuces, exemples dans « Comment écrire son premier roman »




« Le goût de la lecture », une contribution de G Cénec

Le goût de la lecture

Qui vous a donné le goût de la lecture ? Le Mercure de France vient d’éditer un petit bouquin savoureux sur le sujet. Mais avant de vous livrer le texte de la quatrième de couverture (je sais, c’est un truc de journaliste un peu fainéant sur les bords, mais le texte est très bon), j’aimerais aussi vous faire partager l’émotion que j’ai ressentie lors de la projection du film « La Tête en friche ». Nous sommes tant habitués aux livres que nous ne pensons jamais à ces personnes qui n’osent pas entrer dans une librairie, de peur d’avoir l’air bête devant le libraire. La directrice de la Bibliothèque départementale de prêt du Haut-Rhin me disait que lors du passage des bibliobus (qu’elle gère), les gens entrent plus facilement dans cette bibliothèque sur roues. Le bus est sur la place du village, on entre « pour voir »  après avoir fait son marché…

Si vous avez vu le film, vous souvenez-vous de la façon dont Gérard Depardieu s’éveille à la lecture ? Vous souvenez-vous de l’extrême délicatesse de Gisèle Casadesus, en face d’un quasi-analphabète ? J’ai vu le film avant de lire le livre de Marie-Sabine Roger, adapté au cinéma par Jean Becker. D’habitude on fait le contraire… Mais l’émotion était intacte. Voici enfin la quatrième de couverture :

« Le goût de la lecture  est une histoire intime que les lecteurs aiment partager, un plaisir solitaire qui très vite devient un festin de papier. C’est une vieille histoire  entre soi et les livres. Le goût de la lecture est souvent un bonheur d’enfance  qui vous éclaire toute une vie. Il est parfois le fruit d’une éducation ou de voisinage familier d’une bibliothèque. Mais il en est de la passion des livres comme de toutes les passions : les coups de foudre et les coups du hasard très souvent s’en mêlent… Parmi tous ces lecteurs fous de livres, il y a bien sûr les écrivains. Consommateurs boulimiques de papier imprimé, ils évoquent volontiers la naissance de cette passion de lire qui est la source de leur écriture. Promenade en compagnie de Jean-Jacques Rousseau, Elias Canetti, Montaigne, J.M. Le Clézio, Henri Miller, John Ruskin, Alberto Manguel, Jorge Semprun, Daniel Pennac, Marcel Proust, Michèle Lesbre, Nathalie Sarraute, Pascal Quignard, Georges Perec et bien d’autres ». Textes choisis et présentés par Michèle Gazier. 106 pages, format 10 x 16, comme la taille d’un carte d’invitation… à la lecture !

P.-S. : Je ne serai jamais assez reconnaissant envers Jean Pastureau, mon prof de français de classe de première qui a déclenché en moi une soif inextinguible de lecture .   Gérard Cénec




Souvenirs (1) : « Devenu écrivain parce qu’il n’était bon à rien »

Un jour, j’eus la chance de rencontrer Pierre Mac Orlan et Georges Brassens, au bar de l’hôtel Moderne, à St Cyr sur Morin, en Seine-et-Marne.
L’hôtel restaurant, aujourd’hui devenu musée, était tenu par les frères Guibert.
Pierre Guibert, avait réuni une superbe collection d’outils briards, je lui avais d’ailleurs offert, comme tant d’autres personnes avant moi, un vieil outil, un martelé pour tailler les tuiles. Très jovial, bon conteur d’anecdotes sur son métier et sa collection, il était devenu l’ami de nombreux artistes.

Ce jour-là, Mac Orlan, lui qui disait  « je suis devenu un écrivain parce que je n’étais bon à rien. » portait son fameux béret, comme on en porte encore ici, au pays du rugby. Dans ses dernières volontés, l’auteur de  » Quai des brumes «  avait souhaité être enterré vêtu d’un maillot de l’équipe de France de rugby. Elle fut respectée.

Une autre fois, dans ce même restaurant, j’ai également rencontré Pierre Chabrol, autre romancier à la barbe fournie et à la verve inépuisable. J’ignorais que j’allais le revoir, des années plus tard, au Centre de Formation des Journalistes où nous intervenions comme formateurs. Dans une autre article, je vous raconterai une anecdote truculente concernant ce talentueux conteur.

Retrouvez d’autres photos et informations sur le site de ce beau village Briard.




Ce jour en librairie : COMMENT ECRIRE SON PREMIER ROMAN, le nouveau livre de Pascal Perrat

300 pages de conseils, astuces, exemples, exercices

COMMENT ECRIRE SON PREMIER ROMAN, Pascal Perrat, Editions 365




Recherche critiques de romans noirs

Jacques Tessier a créé un blog collectif  : « Un polar ».
Objectif : chroniquer les romans noirs, polars ou thrillers, francophones ou non, nouvellement sortis.
Ce blog est animé par douze personnes.
Son créateur souhaite l’élargir à d’autres chroniqueurs afin de mieux couvrir les publications les plus récentes.
Si vous aimez les polars, si vous souhaitez partager vos plaisirs ou vos déceptions de lecture, si vous pensez avoir des qualités particulières qui font de vous un bon chroniqueur (ou une bonne chroniqueuse), rendez-vous à cette adresse.




« Que l’art français de la promo qu’il est beau »

« réinvente le roman d’aventure », rien que ça…

 « un homme solaire  et sympathique, d’une euphorie tranquille face à la reconnaissance qui s’annonce, vient de passer, comme tout le monde, deux semaines à la plage. »  Qu’il « arbore une panoplie de baroudeur » et qu’il est « prêt à se fondre dans la jungle urbaine où il écrit tapi dans les cafés lyonnais »

Alexis Jenni, Gallimard

 




C’est toujours d’actualité…

Notre voisin*, né le 18 janvier 1689 à la Brède, dans un château, a écrit : « Le lecteur se tue a abréger ce que l’auteur s’est tué à allonger »
C’est toujours d’actualité…

* Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu, plus connu sous le nom de Montesquieu, écrivain français des Lumières.




Clin d’oeil sur un book révolutionnaire

https://youtu.be/Q_uaI28LGJk




Dictée, ce qu’un enfant entend parfois

Ce sujet concerne les parents dont les enfants sont au supplice au moment de la dictée. Notamment les dyslexiques.

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