J’étais, ce qu’on pourrait appeler un volcan mal éteint. Encore volcanique dans mon for intérieur, je fulminais pour un rien. Tenez, un jour, alors que…

C’était un brocanteur spécialisé dans les vieilles idées. Il en monnayait de toutes sortes : idées noires, idées toutes faites, idées à la noix, fixes, etc. Parmi les plus recherchées.

L’expérience m’a montré que de nombreuses personnes écrivent en couple.
L’un tient le stylo ou le clavier, l’autre lit par-dessus son épaule et corrige au fur et à mesure : ton idée n’est pas bonne, ta phrase est trop longue, trop courte, pas claire, ce mot n’est pas juste, ce n’est pas assez précis, pas vivant, susurre une petite voix.

Pour vous sentir libre et léger, écrivez en solo. Faites taire la clique de critiques que vous hébergez en votre for intérieur. Faites-vous confiance, ne doutez pas : écrivez !
Trop souvent, un « autre moi » trouve à redire et prend le dessus…

Trouve-toi une passion, l’écriture par exemple 😉 et ta vie sera dix fois plus grande.

Bonnes vacances créatrices.

Une petite goutte à une grosse goutte : Tu es plutôt Flic, Flac ou Floc ?
Je suis plutôt floc, cela dit…

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Quand on met son cerveau en mode recherche d’idées, il ne se casse pas trop les neurones, il nous propose d’emblée les idées enracinées dans notre mémoire. Ce sont des idées toutes faites, répétées quasi automatiquement. Mettez-les aussitôt sous le boisseau, car ces premières idées font beaucoup d’ombres aux autres.

Sitôt fait, ouvrez grand votre parasol et profitez bien de vos vacances à la montagne ou à la mer.

PS : S’il pleut, écrivez un chapitre de votre vie. Le mauvais temps passera très vite.

J’avais trouvé une bonne idée, mais elle était exaltée. Je l’ai allongée sur un divan pour l’écouter. Imaginez ce qui s’ensuivit.

Un imprévu s’interrogeait :  » Comment occuper ma journée ? M’immiscer dans un voyage ? Perturber un couple ? Je me répète « , pensait-il. Une idée lui vint, un truc pas possible !

Une pie, en son bel habit, frappa à la porte d’un boui-boui espérant un frichti. Un drôle d’asticot ouvrit…

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