Il travaillait à l’Hôtel du Nord, on l’appelait le glaçon d’étage, tant il était distant.
Quand une personne entrait dans la cabine d’ascenseur, elle frissonnait aussitôt. Si bien qu’un jour…
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Il était minuit passé. Une angoisse se sentait en pleine forme, prête à taquiner l’inquiet. Décidée à se mettre à l’œuvre.
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Il était « Rétrécisœur-Agrandifrère ». Il avait le don, par imposition des mains, d’agrandir ou de rétrécir les jeunes gens. Un jour, il eut une demande très particulière.
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Selon nos informations, les jumeaux Savon et Savonnette, bien connus des services de peaux lisses, seraient suspectés d’être mêlés à une sale histoire.
Imaginez une aventure de Tintin et 1000 OÙ.
Réminiscences. Je n’ai jamais rencontré Hergé ou Goscinny, mais, lorsque je tentais d’être un scénariste reconnu, j’ai vainement passé quelques heures dans les locaux dans lesquels Albert Uderzo, poursuivez l’aventure Astérix. Marie Goscinny, me contacta deux fois, nous devions nous rencontrer, puis le temps a passé… Dans les années 90, j’ai participé à des recherches d’idées pour le Parc Astérix. J’ai fini par scénariser des BD d’entreprise.
Elle avala un moucheron tandis qu’elle courait à perdre haleine. Un verre d’eau arrangea les choses. Le surlendemain, elle se sentit pousser des ailes…
Racontez une péripétie de ce petit » r » qui s’autorise quelques fantaisies dans les mots dans lesquels on l’insère.
Racontez l’histoire de la petite souris qui avait peur des oreillers.
Un non-dit s’est enhardi à faire son coming out *
Racontez
* Ce qui n’est pas dit, qui reste caché
Le ciel tout bleu, c’est fini et tant mieux !
Nous allons nouveau pouvoir stimuler les prodigieuses facultés de notre imagination.
Pour ce faire : La paréidolie
La paréidolie, c’est l’étonnante capacité de notre cerveau à trouver une tête ou un monstre, voire un animal ou un objet, parmi les nuages. C’est également possible avec les vieux murs, les rochers, les branches, les racines, l’écorce ou le tronc des arbres, la mousse, la fumée, etc.
Pour s’exercer, si nécessaire, il suffit de lever le nez au ciel et d’imaginer dans ses nébulosités, un animal, une fleur, une bouche, des yeux.
Léonard de Vinci considérait la paréidolie comme un outil artistique et poétique
Notre regard a le mérite d’enchanter notre quotidien et faire de nous des poètes avec des projections qui transforment la banalité en surprenante beauté.